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les ravages du poête
brunehilde
Si les caprices de ton intelligence ne t’offrent plus aucunes faveurs
Si les supplices de ta clémence trouves lacunes en son sauveur
viens à moi poète, courir auprés du peuple, hélas
Leur conter des mots, éclaircir leur menace
Ne nies pas le subtile échappatoire de ton savoir
ne nies pas l’image que reflète ton miroir
Ne nies pas les délices d’une connaissance
Sois toi même logique, tout une science!
ta foi est imputrescible
N’en fais donc pas une cible
Toi homme du monde et du chaos
Toi homme du monde et si fatal
Sonne donc l’onde natal
Sauve toi, pars à l’assaut
Ne te récris pas soit patient
Ne te recourbe pas à son escient
Et si dans les mêlées ton langage provoque des ravages
Outrage de ne pas les manipuler, de rompre les clivages