Les yeux du crépuscule pleurèrent les couleurs sur sa robe
ezio-shulsky
Les yeux du crépuscule pleurèrent les couleurs sur sa robe
L’absence fragrance lèche ses dilacérations sur mes jours aux pénitences
Eventrées en sculptures de multiples plaies adroites inclinations
Constellées de pourpres dentelles laiteuses
Boursouflures violaçant l’enveloppe mouchetée de purulences
Aux grêles éventrements en menuets de peau folâtre
Implosions cornées d’éparpillements
Aux noircissures languies de cendres
Insatiables suintant de biles enflées
Suant l’effeuillement
Le drap désir couché d’onctueuse
Nacre aux exaltations sudoripares ferraillées
D’une soie soufflée
Par les brûlures.
Le pont s’ébroua à demi noyé aux souches d’un horizon sensualiste et poreux
Qui de ses bras maternels déroba les gestes colorés de l’azur en fouillis imperceptibles.
Mes futurs n’étaient appelés qu’à furent.