Éloge du dévouement
ezio-shulsky
Aux brunes éloges, simplicité Que lasse douceur en nudité Que la Sylphide, aux veuleries Quelles de l’âme, essaiment garnies D’une fraîcheur inst...
Aux brunes éloges, simplicité Que lasse douceur en nudité Que la Sylphide, aux veuleries Quelles de l’âme, essaiment garnies D’une fraîcheur inst...
Cabourg-couche-toi-là, Fleurs bourgeoises de bikinis peintes par les réformés à l'iode Pharmaceutical Plus de L'édition quatre cent cinquante et un...
Lames idéalismes Larmes Aéronefs floutant leur esthétisme océanique Vous qui froissiez les Epopées Ô antan calames, Trémateurs tigrés d'hellénistiq...
Au délicat telle paupière, Rôde élégie qu'attèle le coeur, S'enlace lasse, cautèle liqueur Aux lestes, vaisseaux qu'alloch- Tones chanvres, de jadi...
Les ondes d'or s'effeuillaient, siphonnaient chastement l'azur, s'absorbaient frèlement sur les consistances de l'air, se consumaient sur les ombre...
Peau : Cambrures évanescentes des monts excentrés de la chair. Lèvres : Ailes bariolées des sillons irrigués par le temps de l'âme. Oeil : Plume po...
La nuit est une houle malade qui suspend son fiel en décomposition sur les excroissances voûtées de l'azur. Le firmament est une vasque glissante ...
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Leurs regards se figèrent, leurs yeux crépitèrent, leurs pupilles sévères, aux couleurs stellaires, Festoyaient. Leurs mains se pétrirent, leurs ...
S’amoncellent flammèches, en ces soirs brûlant de haine. Courent aux nues revêches, Les fougues obscènes. Se raidissent éthérées, Les voutes de co...
Les yeux du crépuscule pleurèrent les couleurs sur sa robe L’absence fragrance lèche ses dilacérations sur mes jours aux pénitences Eventrées e...
Voir dans mes images associées celle intitulée " Le Clocher"
La déliquescence élancée du pourpre, étole d'un Alcyon famélique, la houle ivre du diallèle pupille, les lippes corolles diaprées de versicolore, ...
Un oeil écorchement du monde pluies de sang à toi l'inaltérable cri du son de tes visages blêmis par les lacrimales immensités frêlement soyeuses d...
Son manque sanguine anse, inextinguible tance aux noces nues des dunes, leurs nuits rances effigies en tanguent immenses, sommant qu'opaque je glos...
Le vent fendit l’éther tantôt mes lèvres, De sa palme hurlante s’enorgueillit de ma gorge, Qu’il de son rauque pouvoir ainsi qu’un rêve, Pétrit si ...
La poésie semble former une boursouflure du verbe être, qui célèbre le non langage, l'herméticité des subjectivités humaines.Un langage qui contemp...
Toutes nos idoles ne s’épanchent qu’en une seule finalité : aiser l’aigreur de notre cœur à la dernière pulsion du sentiment de l’existence, précéd...
La mode féminine chez la jeunesse du début du XXI ème siècle, dans le milieu bourgeois, prône une annihilation définitive de l'imagination portée s...
SANG DE BRUME Baptiste Gourgouillon Prologue E...