Liberté

Jean François Joubert

Je suis Charlie

Second millénaire, fini l'ère glaciaire, le maître soleil en éruption car il a froid s'observe par nos pigeons voyeurs satellites aux regards d'aciers, joli programme et ce spectacle, comme vous, je l'admire. La crise ! La fin du rêve de conquête de l'espace infini, aux frontières inconnus, tant notre monde, et minuscule face à la puissance du cosmos. La crise des fois m'énerve, qu'elle soit de Foi, croire sans savoir, une ineptie. De foie, bientôt la fin du chocolat, anti-dépressif, ou de fois si les êtres vivants ne tirent pas d'enseignements de leurs erreurs. Tel un savant fou, observons le ciel, beau comme un diable qui nous jette des seau d'eau à la gueule, ce chariot champagne qui pétille et nous pousse vers le Nord magnétique, sans oublier les autres point cardinaux, notre toit, permet de nous situer, même sans éphémérides et sextants, marin d'eau douce que nous sommes. De nos jours levons le voile d'Honneur pour réussir à nous unir et respirer la note sucré, la crêpe, le chignon, de l'addition de la dette Capitales, Londres, Amsterdam, Paris, Tokyo, New York, Singapour, qui serrent et qui ceinturent les indigents, et rends la voix basse de la base, sans carte de cœur, de pique, de carreau, et simplement oublions la fatalité de notre condition, et continuons chacun a chercher le trèfle à quatre feuille, une joli plante muette assommée au gourdin par le destin insoluble de nos âmes, sourde au simple fait qu'un Sapiens Sapiens mange, bois, s'habille, et pauvre ou riche reste et restera un S.D.F de la vie, tant que la mort existe, une règle établie par le Saint-esprit ! Ce simple constat, cette peur, aussi forte q'une plongée dans l'abysse, la bise sombre nous angoisse et cette seule certitude de notre décence d'Hêtre un arbre qui transpire et respire l'atmosphère, l'aire de jeu de nos vies, les z' « amis » restreint le dé de l'Espoir… Sinon, en coup de vent nous serons perdu comme la Paruline Rayée de la mappemonde...

 

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L'aube, ou le soir de nos nuits blanches nous épie tel une pie, et ce café corsé des lois stupides de l'économie, d'aujourd'hui, face à la mouvance écologique simple logique mathématique, notre espace pour jouer, rire, pleurer, souffrir et sourire est unique, le centre de notre univers, un lego à ne pas négliger car ce cailloux qui tourne dans l'espace à fini sa croissance, la Terre est majeur, la Nature aussi, et les deux sont unique et magnifique, et tous les synonymes, superbe,,admirable, sublime, splendide, beau, remarquable, olympien, somptueux, noble, etc…  Alors pour résister, lutter, en rayon pacifiste avant que la règle éternelle de la révolution, pas solaire, mais du siècle des lumières, celle de couper des têtes, de huer sa colère, de crier aux sorcières, de ne plus masquer en volute de fumée sa détresse de maquereau en mer, car au fond du cycle, du cercle des étoiles, sur la toile du ciel ouvert à la méditation, à la contemplation, avant d'ouvrir les veines des sans espoir, avant que la masse terrasse le pouvoir en place, soleil une glace, pas un miroir narcissique, réfléchissons, ensemble ! voulez-vous voir la rue hurlant au vent troublant de l'atmosphère ce cyclone sans clown sa douleur, peu importe sa couleur, la lutte fourmis ouvrière sera la destruction de nos installations, notre bulle de confort. Et ceci peu importe l'odeur de la misère nos scelles dans la rue, un ru, au moyen-âge, la rage, et plus de Dame de nage pour nous sauver, nous l'Humanité. Personne ne bouge tant qu'il ne s'agit pas d'un problème d'Argenterie de nos bijoux de famille, celle et ceux qui rendant responsable de la bêtise urbaine et rurale des grosses tête se la coupe tout seul, euh de permettez moi de sourire l'appellation d'origine Protégée par des brevets d'Etat du syndrome fou, de l'intelligence, synonyme de connaissance, et du vin bu à la calice, courant puissant, «  c'est pour quand le point d'indice de la bonne humeur ! Le sentiment vrai de toucher la racine du bonheur, conserver la bonne dose d'humour, et pourquoi pas  oublier le serpent aspic du divin pétrole dû, qui marque les murs de Paris à Dublin du respect, en passant par la Patagonie , la fameuse dette Capitale du cône sud si convoité pour son sol pas mineur… Et découvert par un grand navigateur Magellan.

 

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