L'Ombre de la Haine
pheonix77
Ô mon pauvre abruti
Vous n'avez rien compris à ma simplicité,
Rien !
Continuons-nous à nous détruire
Que notre sang se repent
Et s'écoule lentement
J'en ai vue d'innombrables
Tous aussi pitoyables
Que les uns que les autres
Vous êtes fade
Sans saveur ni honneur
Je suis navré de constater
Que même sous ses multiples forment
Votre masque ne me fait guère pitié
Mes poings sont glacés
Mon cœur est froid
Vos soufflent me glacent
Je vous haie
À tel point que vous me faite vomir
Je vous méprise
Je vous l'écris de ce cœur désespéré
Que ce grand cercle continue à s'agrandir
Cette douleur qui fait partie de moi
Me ronge haut et fort de colère
Le monde qui nous entoure
S'obstine dans cette chasse nuageuse
Qui nous enfoncent dans le doute
Terrible faute
J'enrage en voyant votre gueule miséricorde
Ce paysage mort où rien ne bouge
Une vie de merde abusée
Synonyme d'un fardeau
De mes blessures, seules, je les panse.
Je vous le dédie ces paroles
Que votre place est en enfer
Je vous banni de ma vie
Sur lequel vous avez mainmise
Mon cœur désormais vous ne l'aurez plus
Impénétrable, hostile, différente, unique
Mes paupières se closes
Vidée de toutes ses énergies négatives
Las de cette race
Qui me supplice mon âme
Pourriez-vous songez que mes paroles
Je vous parais injuste ? Certes !!!
Nombreuses peines et douleurs en sont nées
Plus troublantes et fortes avec les années
Je vous le dis
Je vous le crache cette haine
Avec ma plume déchaîné
Il faut se le dire
Toutes les peines sont à écrire
Dépendante de toute originalité
Vous me remplissez de douleur
Vous me détruisez
Tôt ou plutôt dirai-je trop tard,
Trop de peine
Ça en est assez!!!
Trop de mal guette le danger
Je veux en guérir de ce mal incontesté
Je vous en conjure de m'en excuser d'avance
De cette violence
Que j'ai accueilli à bras ouvert
Le poing écrase le cœur
L'intolérance de toutes ses différences
Les plaies ne cessent de saigner
Hissant les tristes voiles de la souffrance
Ma plume encre le sceaux de la vengeance
Ne voyant plus où je mets les pieds
De l'aube au soir du crépuscule au matin
Je m'en contre fou
C'est le prix à payer
D'un pauvre type perdu
Juste bon pour l'insomnie
Noyait dans l'art
Il était une fois cette écriture
L'air d'un con
Amusez-vous à trancher les veines
Je n'ai connu qu'une bouche d'égout
Fanant ainsi ma fleur jusqu'à la moelle
De votre jardin d'Eden
J'ai déjà creuser votre tombe
Un goût infect
Celui d'un homme solitaire
Demain vous trouverez veines tailladées
Avec une lettre tachée de sang à vos côtés
Une ombre planant au-dessus de vous
Un visage lacéré
Déchiré, dégradé
Mécaniquement déréglée
Regardez-moi bien
Voilà ce que vous récolterez
Enfonçant mon âme
Un ange déchu
Grisaille et blafarde
Il est temps de tourner la page du livre
Je m'en vais semer mes graines d'amour
Loin des vautours
Hurler sans fin
Cette rage qui me détient
Dégueulé
Cette gerbe au ventre
Là, tout contre le creux des vagues qu'elle rabat sur moi
Qui parfume si bien ma langue pendue
J'écris sur ces bouts de papiers
Ma valeur sûre
Chacune de mes blessures
Monts et exquises vallées
Tout ce qui pour vous n'a aucun sens
Il m'aura fallu cinq décennies
Pour éclairer ce qui paraît futile
Et dans le silence
Je transmets sans comprendre
Mon esprit en tourments.
La vérité... que de crimes!!!
Vos mots glissent
Comme vos mensonges qui se faufilent en douce
Vous êtes le Soi disant Bon poète entendeur
Qui n'a ni queue de cervelle
Je vous dédie ces mots pourris
Moisis bien de l'intérieur
Ma grande vision a su s'agrandir
Au fil du temps
Sachiez remercier vos bandes d'hypocrites
Que vous défendiez si tant
L'heure tourne,
Voilà plusieurs semaines la haine a su scellé le sort
Prête à encaisser la rupture...
Bonne continuation...
CIAO
Résumé :
Qui n'a jamais haie presque tout en se monde, presque tout… sauf la haine. Le Cœur, lui seul commande nos gestes affectif. La haine est une solitude amère, un acte de révolte, de colère, un sentiment d'être seul quand trop d'abus de fait se fait ressentir, d'ignorance, de mensonge, de chantage et mille et une raison d'excuse non valable. La Haine se nourrit particulièrement de la souffrance insensée et se durcit au fil du temps de nos peines C'est ainsi que née la Haine et nous rends invulnérable et fort à la fois.
la haine, cette autre forme d'amour...à lire entre deux lignes, en diagonale ou en cavalier….;0)
· Il y a plus de 5 ans ·flodeau
J'ai adoré :D
· Il y a plus de 5 ans ·Caïn Bates