Lorsque l'hors conscient l'emporte.

Ma belle blonde fruitée, tu m'avais manqué. Recherchant l'ivresse à travers ton goulot, je voyage par ta saveur et ton degrés d'alcool. Te voilà à 7,5 % d'alcool pour cinquante centilitre, u me fais monter dans les tenebres de mon esprit. Tu es séduisante, si bien que tu me fais rire lorsque je te côtoie. Et c'est ce vieux Vald accompagné de son pote Georgio que j'entend dans mes oreilles pourtant sourde. Puis viens le moment où je me retrouve seul avec moi même, les sentiments m'envahissent comme le parfum de ce splif qui prend possession de mes poumons et mon cerveau. Je m'évade sous vingts nuances possibles et je ris comme un con tout seul accompagné de mon élixir et mon calumet de la paix.