L'unique.
elsanico
Je n'ai pas peur de faire l'impossible, je n'ai pas peur de te dire toutes les choses qui pourront me détruire. Toutes ses fois où je suis en colère pour rien, un malentendu, une débat défendu. Je n'ai pas peur que tu me dises que c'est fini, j'ai juste peur de ce qu'il y aura après, après que tu m'es laissé dans un désarroi total, dans le noir, sans vie.
C'est alors que je retournerais dans l'endroit où j'ai toujours vécu, où j'ai toujours su où je me dirigeais lorsque mes pas étaient encore mes guides. Sauf que tu as été mon guide pendant toutes ses années, tu as été ma lumière quand il n'y avait plus d'électricité. En effet il n'y a que toi qui peut voir mon vrai sourire, mon vrai rire, mon vrai bonheur, ma vrai pensée. Mais si cela devait arriver je me demanderai sans cesse comment ça aurait pu se produire... Car je me rappellerai toute ma misérable vie de cet après, comment tu me souriais quand tu m'apercevais, comment tu me sautais dans les bras à chacune de nos rencontres. La couleur de tes yeux, le futur qui me semblait beaucoup moins dévastateur quand je les dégustais du regard. Tes paroles rassurantes quand je n'allais pas bien, ton soutien, nos petites prises de tête, mon amour envers toi, ton courage, ta loyauté, notre fidélité, ne jamais s'abandonner. Non ne jamais s'abandonner.
Si jamais on devait se dire au revoir un jour, ce qui n'est pas près d'arriver, je voudrais t'écrire une longue lettre, une énorme lettre, par laquelle je te répèterai combien tu es important pour moi, combien la vie n'est pas une vie sans toi. T'avouer que mon chagrin ne cesserai pas d'augmenter, les larmes que je verserai le soir, même la journée. Je ne te demanderai pas de la lire en entier, car il y aura tellement de page que je me pose des questions sur son contenu, peut-être que j'écrirais au moins cent fois "je t'aime", où que je l'insinuerai. Je te montrerai que tes lèvres étaient bien plus importantes que n'importe qu'elle distraction, que tes mots pouvaient me calmer en une faction de seconde. Que je t'aime, je suis accroché à tes pas. Parce que toi, toi je ne pourrais jamais t'oublier, car t'oublier se n'ait pas se que je veux où se dont je rêve et encore moins ce que je serai prête à accepter.
Je te considère comme mon âme sœur, enfin non ce n'est même pas une considération, c'est une évidence : la réalité. Jamais un seul homme n'est venu me soutenir comme tu l'as fait, jamais je n'ai dis deux choses à la suite en même temps qu'autre autre personne sans le savoir. Je me rends compte, de la chance que j'ai de t'avoir. Je sais ce qu'est l'amour avec toi, je sais qu'il est vrai, qu'il est compliqué mais qu'on le simplifie. Lorsque qu'est venu l'automne et ses feuilles qui tombent, je n'ai pas arrêté de penser une seule fois à toi, tu es une des seules feuilles qui ne tombera jamais de mon arbre, mon élément, mon kit de survie dans ce monde où nous nous entretuons tous, où la paix règne sans pouvoir agir. J'ai prié Dieu pour qu'il nous laisse du temps, des longs moments à venir à passer ensemble, à nous deux, à notre famille.
Là où tu iras, j'irai, on se l'est promit et je ne l'oublierai jamais et pour rien au monde, même pas pour vivre une minute de plus car sans toi la minute que j'aurais serait gâchée. Personne ne pourra me prendre ce que je possède, personne ne pourra prendre l'amour que j'éprouve envers celui dont je rêve toutes les nuits, qui ne quitte pas mon esprit, qui fait partie de mon présent et de ma future vie. Je t'aime vraiment, jusqu'au bout de mes rêves, ma vie. Tout mon entourage le sait et maintenant l'a comprit : accepté. Je n'ai plus rien à prouver à un seul d'entre eux, je suis libre de vivre ma propre vie, mon propre destin, à ses côtés.
Aux côtés de Nicolas, mon seul et unique.