Lyon
sibyllin
est-ce que j'aurais la même sensation de fatigue ?
ce sentiment de non vie, d'être effacée ?
ces cernes qui foncent, ce visage aussi fatigué, aussi terne ?
les gens que j'ai connu là-bas semblent pourtant s'en sortir
souvent la même question, quel quotidien je mènerais si je n'avais pas été contrainte de partir ?
pas de cette ville
mais de cette vie
Très beau et malheureusement vrai. Voilà comment les grandes métropoles broient ce que nous sommes, ou plutôt, ce que nous aspirons à devenir.
· Il y a plus de 7 ans ·Julien Darowski