Ma chaude Camarguaise - A la plage

Aurélie était une amie de longue date, chez qui je m'étais rendu pour me consoler d'une séparation temporaire avec ma compagne. Approchant de la quarantaine et n'ayant toujours pas d'homme dans sa vie malgré sa beauté, elle avait profité de mon séjour dans le sud pour me demander de l'aider à concevoir un enfant, ce que j'avais accepté de faire. Nous prîmes la voiture pour nous rendre sur la plage isolée dont Aurélie m'avait parlé la veille, après que nous aillons couché pour la première fois ensemble.

Nous empruntâmes un chemin de terre qui longeait les marais de la Camargue, jusqu'à déboucher sur une grande plage, dont les dunes s'élèvaient très haut et s'étendaient à perte de vue. Nous nous garâmes. Sortis de la voiture, Aurélie me prit par la main pour me guider derrière une dune. Après avoir vérifié qu'il n'y avait personne, nous enlevâmes nous vêtements.

La belle brune commença par m'allonger dans le sable et grimper sur moi en introduisant mon sexe dans son intimité. Tandis qu'elle me chevauchait, je profitai du spectacle excitant de ses seins qui tressautaient tandis qu'elle remuait les hanches. Ensuite, Aurélie se retira et commença à me sucer le sexe, d'abord lentement et doucement, puis de plus en plus fort et rapidement, tandis que je jouais avec ses deux orifices du bout des doigts.

Je l'informai que je ne pourrai plus tenir très longtemps. Je m'attendais à ce qu'elle arrête, hors me laissa jouir dans sa bouche, avant de recracher ma semence sur mon sexe, d'un air satisfait. "Le sperme est de meilleure qualité pour la fécondation après la première éjaculation" m'expliqua-t-elle tout en me branlant, se servant de mon sperme comme d'un lubrifiant naturel. Elle recommença à me sucer un moment.

Après lui avoir léché le clitoris à mon tour, je ne pus résister à la tentation de glisser mon sexe dans son petit orifice. "N'oublie pas que tu dois me mettre enceinte" me rappela-elle. Je réservai ma semence à son utérus, mais j'avais envie de goûter à cette autre partie de son intimité. Je basculai Aurélie sur le côté et, après avoir humidifié son petit trou serré du bout de ma langue, j'introduisis mon pénis en elle, d'abord le gland, puis le reste, centimètres par centimètres, tout doucement. La pénétration fut difficile au début mais, rapidement, mon sexe glissa en elle sans difficulté. Je la pris pendant de longues minutes. Quand je fus au bord de la jouissance, je retirai mon sexe de son anus et l'introduisis dans sa chatte pour la remplir de mon jus.

Tandis que je me branlai pour rester dur, mon amie se mit à quatre pates, la croupe offerte, pour accueillir de nouveau mon sexe. Je la pris violemment par derrière, jusqu'à éjaculer en elle pour la deuxième fois. Epuisé, je m'écroulai dans le sable à côté d'elle. Aurélie me jeta un regard lubrique.

"C'est tout ce que tu as en réserve ?" me lança-t-elle.

Aurélie se mit alors au dessus de moi et, après s'être doigté jusqu'à m'inonder, massa mon sexe avec le sien. La sensation du frottement de son vagin sur mon gland, rendu hyper sensible par plusieurs éjaculations, se situait quelque part entre douleur et extase. Plantant mes doigts dans le sable et agrippant son sein avec l'autre main, je me laissai aller jusqu'à redevenir dur. Alors, Aurélie prit de nouveau mon sexe gonflé dans sa bouche, puis elle s'allongea en écartant les jambes et j'entrai de nouveau dans son vagin humide et chaud.

Après l'avoir pénétré longuement, je me déversai en elle dans un orgasme encore plus intense que les précédents, puis je m'allongeai sur elle pour l'embrasser longuement.

Nos ébats terminés, Aurélie et moi nous allongeâmes côte à côte, nus, pour profiter du soleil et de la chaleur. Nous passâmes le reste de la journée ainsi, à faire la sieste et à nous embrasser, promettant de remettre ça le soir, une fois chez elle, mais aussi le lendemain, avant que je ne reparte.

Durant longtemps, je me remémorai ce moment mémorable. Finalement, quelques mois après, je reçus un SMS. Le verdict était tombé :

Félicitations, mon chou. C'est positif ! Tu es Papa.

Love. Aurélie.

Un sourire naquit aux coins de mes lèvres.