Malgré moi.
hama
C'était nous deux contre le monde. Laisse-moi comprendre ta haine, laisse-moi te dire encore un peu que je t'aime. Je t'aime et j'ai jamais cessé de t'aimer ; je t'aimerai jusqu'à la fin de ma vie. Ou peut-être que j'arrêterai de t'aimer bien avant.
Non, je ne veille plus sur toi, et en repensant à toi je voudrai m'arracher le cœur, en recoller un nouveau qui puisse soigner le tien. Si tu passes par ici un jour, dis-toi que je t'aime, je t'en supplie, dans toute la haine que tu me portes aujourd'hui, laisse-toi un quart de secondes pour te dire que je t'aime.
T'étais ma vie. C’était mieux que tout, t'étais mieux que tout, ensemble on était mieux que tout. Je t'avais donné mon cœur, mon corps et mon âme. Tu m'avais donné ton amour, ton sourire et tes larmes. Mon bonheur t'appartenait, je t'appartenais tout entier.
Jamais la passion n'avait été aussi forte, jamais l'addiction m'aura autant détruit. J'étais fou, fou de tes yeux, fou de tes lèvres, fou de tes mots, de tes je t'aime, de ton parfum, de ton soutien, de tes caresses et de ta peau.
Je me souviens encore des ces longs instants où je laissais mes doigts glisser sur celle-ci ; nous étions si bien, si seul au monde. Le regard des autres ne comptaient en rien à nos yeux, tout ce qui importait c'était notre bonheur. Malheureusement, je pense que je n'ai jamais réussi à te rendre totalement heureuse et c'est quand j'arrive à cette conclusion que je ne peux que me trouver décevant.