Melody

Melody, tu marchais dans la rue avec ta micro jupe et les garçons te reluquaient à satiété. Tu bougeais dans cet été comme une étincelle, une flammèche dans un brasier! Tu déambulais dans ses rues en ne recherchant rien à part de la compagnie. Melody, tu étais fraiche dans tes courts et la chaleur te donnais des airs de nymphe! Tu volais nos cœurs par ton regard et tes postures lascives! Aucun mec n'avait encore vu de tes courbes! Nous parions sur nous-mêmes pour t'aborder. Tu était tentation, vice, supplice de la luxure, ange dévastateur. Puis tu es venue, nous faire sentir ton parfum et nous faire voir ta moue boudeuse. Poupée de soie, tu enivrais nos sens et nous perdions nos assurances. Mais malgré ton aplomb, nous t'avons parler et tu était directe, comme nous aimions. L'alcool nous a aidé et nous sommes monté dans la résidence. Nous mations son cul quand elle montait les marches, comme pour nous assurer et nous rassurer. Nous étions des guerriers du sexe, en attente. Et elle se posta devant la porte de la chambre, toujours boudeuse, un chewing gum en bouche. Elle n'était pas farouche Melody et nous aimions ça. Nous sommes entrés et les portes du paradis se sont refermées!