Quand j'étais petit, La journée je montais au sommet des arbres et je contemplais le ciel, il était gris !
Alors j'attendais la nuit pour observer les astres. L'homme est aigris,
notre père je cris pour que tu écoutes le son d'mon âme, quand il faut défendre mes frères, j'ai la rage de sangohan.
Ma famille se bâtît autour des potes, mais j'oublis pas ces celles qui pâtissent de la famine par la faute de tous ces despotes, moi mon seul crime c'est d'avoir écris leurs noms dans mon Death Note.
On aimerait changer les choses, mais on n'essaie pas, pourtant souviens toi comment la peine
Te laissais pale quand elle te frappait l'abdomen à la vue d'un homme blessait par la haine.
Quand j'vois tout ces crimes, j'ai l'impression qu'moi aussi j'ai les mains pleines de sang,
Avec ma vie vaine de sens sous la pression d'mon petit confort, j'manque d'oxygène,
Alors je cherche la cime des passions qu'on forme parce que moi aussi j'aime
Respirer ! Les Hommes aussi s'gênent quand ils s'laissent tirer par leurs envies d'exprimer
Leur colère. Et je suis la, impuissant, guidé par mes impulsions, il me faut un bol d'air.
La nuit je renferme mes démons dans une cape sous l'lit, et quand le sol tremble c'est qu'il est l'heure de se battre contre l'Akatsuki.
Et c'est toujours le même cauchemar dans lequel je scelle mon sort,
j'pars en viré puis je sors dans ce bar, grillé par l'alcool, je m'assois, la musique m'ensorcelle, il est temps pour moi de faire tournée le barillet avant de poser le flingue sur ma tempe. Bang !
J'me réveille, mes fringues sont trempes, l'impression d'avoir joué ma vie dans une guerre de gang !
Mais j'ai pas vrillé, j'suis pas dingue je tente, juste d'oublier le goût amer
De l'incertitude qui perdure bon sang, sans qu'on puisse rien y faire.
C'est l'hiver j'titube dans la ue-r en quête de verdure dans le froid persan,
C'est hyper dur quand ma tête sert d'urne et que j'vois tout ce que j'ai déjà perdu à 23 ans.
Alors le jour je monte au sommet des arbres et j'attends la nuit pour contempler les astres.