C'est cela qui m'a plu chez lui : sa façon de se coiffer, de passer la main dans ses cheveux déjà impeccablement coiffés. Il m'apparaissait toujours mieux coiffé que moi, et dans cette habituelle habitude totalement naturelle chez lui de se passer la main dans les cheveux, il m'était désirable à souhait. Je le regardais. Je souriais. Je souriais car je pouvais l'observer à loisir de là où je me trouvais. Et finalement, son regard s'est éclairé, il m'a vue et m'a souri. A cet instant précis, mon coeur a basculé. J'ai raté une marche en le rejoignant ; tout mon corps appelait le sien.Son visage a viré à l'inquiétude. Il a attrapé ma taille en l'enlaçant et en me soulevant à sa hauteur. Il m'a serrée dans ses bras et effleuré mes cheveux d'un baiser... Et si je rougissais ce n'était pas de honte, mais de bonheur.