Quand je serai mort,Ne faisant plus de torts,Enveloppez moi d’un linceul,Et au pied d’un chêne robuste,Déposez mon corps vétuste,Afin qu’il pourrisse seul.Vous pourrez planter des soucis,Des géraniums, de la gentiane,En souvenir des belles Dames,Quelques bleuets et des jonquilles,Pour souligner mon cœur fragile.Tressez le chèvrefeuille et la glycine,Pour qu’ils montent jusqu’à la cime.Mais n’oubliez pas un parterreDe pavots, violettes et primevère,Une touche d’anis, un lis et des iris.
Encore Bravo!...Très jolie plume et de la noblesse d'âme!
· Il y a environ 12 ans ·Frédéric Cogno