Mensonges.

lirynn

La vie cours et moi je suis en suspension, un instant. Tu m’avais promis de ne pas me t’envoler comme une volatile. Pourtant tu l’as fait, te mettant la corde au cou. Je suis spectatrice de ton massacre. La pendant dans le vide, tu m’as écorché l’Ame. Je revois les champs de coquelicots où nous faisions l’amour, à la chansonnette berçant nos corps. Mais tout s’évapore avec le temps surement… mais moi je n’oublie pas tu vois. Nos cœurs entrelacés vers les arcs en ciel, et ton gout sucré... Maintenant je n’ai que de l’amertume aux bouts des doigts. Mon corps t’attend mais tu ne reviendras pas, plus. Alors mes yeux coulent sur les carreaux, sales de mensonges. Tu m’as brisée comme ca, l’être a ta recherche…

Signaler ce texte