nouvelle de fiel

trou du cul du monde,visages malsains,habitats glauques et sordides,atmosphère morbide.les familles,sûrement des consanguins.les femmes,les filles,prises de force de la manière la plus bestiale qui soit.les vieux,grosses joues,gros bides,à poil,on ne peut distinguer leur sexe,seulement le va-et-vient qu'ils font avec leurs mains quand ils observent de petites pucelles,et ce gros jet blanchâtre qui dégouline emmenant les mains à leurs bouches pour le lécher et se barbouiller de leur odeur fétide.quand des passant sont pris dans ce traquenard,ils terminent découpés par cette grosse vache qui fait cuire la marmitte dans un chaudron et garde pour apéritif,les doigts,les yeux,la langue,les tripes,le coeur et la cervelle crus.tout ces gens gros et malformés salivent en pensant au festin qui vont se taper. l'intérieur de la grange sert au boucher du coin.des chaînes pendues,des lames,des hâches,du sangpartout,et le voilà qu'il entre dans son univers.les carcasses et les ossements terminent à leurs chiens enragés.dans tout ce décor,une jolie jeune fille,on dirait qu'elle n'a rien à faire là,mais c'est pourtant la plus redoutable des chasseuses.visage lumineux,yeux pétillants,coiffée avec de jolies noeuds dans ses couettes,sourire malicieux,tee-shirt moulant et transparent,jupe plissée à ras les fesses,petite culotte rose et sandalettes.rien de bien choquant!et pourtant...

c'est elle qui attire les passants,jambes écartées sur un tronc d'arbre se caressant le clitoris,une sucette dans l'autre main.une fois que l'appât a mordu,elle se transforme,leur saute dessus et leur déchiquete la gorge avec furie.son visage s'assombri,ses yeux sont pleins de haine,et sa bouche qui était si sensuelle en suçant sa sucette est maintenant dégoulinante de sang et de salive.ses cheveux sont en bataille et son sexe déverse un jet de cyprine.

elle ramène les corps dans l'antre du boucher,attend que la grosse vache fasse cuire et se jette la première sur la table,mange comme un goret en se faisant troncher par son frangin qui pousse des grognements de sanglier.alors s'entamme une orgie de monstre cannibal.je ne sais pas pourquoi ils m'ont épargné et ce qu'ils souhaitent me réserver.j'ai bien envie de prendre mes jambes à mon cou,mais j'ai peur de me faire embrocher par un crochet de boucher dans mon anus,et je suis sûre que ça ne le dérangerait pas de baiser mon cadavre;donc,j'attends seule dans cette porcherie qu'ils s'endorment après leur goinfrerie.

ça y'est ils ont l'air endormi,c'est le moment de m'échapper,loin,très loin.je vois le bout,la sortie enfin!et là,je me retrouve entourée d'une vingtaine de gueules antipathiques,qui me regardent en bavant,en poussant des cris d'animaux en rut,et cette salope avec ses longues couettes et son air de sainte ni touche me bondit dessus,me bloque,je me fais démembrée,décapitée,ils prennent ce qui reste de mon corps,et chacun leur tour,m'enfoncent leur bite puante dans ma chatte morte tout en bouffant mes membres éparpillés.j'aurais vraiment mieux fait de ne pas m'arrêter dans c'coin!!!