Nouvelles du front

k-lame

Dur de trouver les mots quand tout a déjà été ditdes décennies qu'on tape contre le même murpart a la charge la tète un bélier qui se fissuredes déceptions projectiles du fond de l âmesous une lame de fond deviennent des projections infantiles.Et dieu sait que l enfant tirailleur a la gâchette facileen joue avec la douleur qui tirailleon la reconnue l ennemi il priait sur le champs de batailledemandant comme seule aumône de rester seul au mondeil voulait seulement être le dernierfallait qu'il s en sorte même au prix d un bain de sangapprends que l ego est un tyran qui tire toujours a bout portant.Je suis cet animal acharnéqui s'extirpe et sort des charniers affamé.Le vide dans le bide jamais rassasié,j avalerais sans fin mes proies décharné, je suis...Regarde le dans les détails il te ressemblemême camouflé car mouflé vous aviez joué ensembleVos terres nourricières et leurs failles comme terrain de jeune sont plus que des souricière ou l 'un sur l' autre vous ouvrez le feule fusil a l'épaule tu le pointes sur ton portrait cachéet un pugilat de psaumes n 'y pourra rien changéconstate que tes soldats sont bien morts épuisésbalafrant a coup d'épée dans l eau leurs propres reflets.alors bien sur que les dernières nouvelles du front ne seront pas bonnescar crâne contre crâne, l'onde de choc à chaudes larmess'immisce, mystère sur les prémices d'un conflit interneLes duos deviennent duels à l'ombre des chemin d'Éden.Je suis cet animal acharnéqui s'extirpe et sort des charniers affamé.Le vide dans le bide jamais rassasié,j avalerais sans fin mes proies décharné, je suis...Arborescence d'un mal boréalici il fait froid et l on arbore l'étendard dede son idéal comme on porte sa croixau combat. Aux aurores des soliloques narrent les croisadeset leurs horreurs on se navre devant ses corpsen loques os dépouillés pour nos bonnes œuvresAux grands guerriers les grands combats, et aux martyrs les mal-aimésles balles perdus, les mauvais tirs, les sacrifices insenséstous esclaves d'une prétendue perfection. nos prétentions et leur sacres laissent acresmes pensées épanchées sur nos actes, vas y dis le,combien d'entre moi, entre nous, ai je conduis au massacre?

"Tu sais, les hommes marchent même sous la pluie.
Leurs doigts émérites s'obstinent à essuyer les torrents du ciel,
quand sous leurs semelles sommeille l'animal. L'animal veille"


Dur de trouver les mots quand tout a déjà été dit.
Des décennies qu'on tape contre le même mur,
part a la charge la tête un bélier qui se fissure.
Des déceptions projectiles du fond de l âme
sous une lame de fond, deviennent des projections infantiles.

Et dieu sait que l enfant tirailleur a la gâchette facile!
En joue avec la douleur qui tiraille,on l'a reconnu l ennemi!
Il priait sur le champs de bataille, 
demandant comme seule aumône de rester seul au monde,
il voulait seulement être le dernier.
Fallait qu'il s en sorte même au prix d un bain de sang.
Apprends que l'égo est un tyran qui tire toujours a bout portant.

Je suis cet animal acharné,
qui s'extirpe et sort des charniers affamé.
Le vide dans le bide jamais rassasié,j avalerais sans fin mes proies.
Décharné, je suis...

Regarde le dans les détails, il te ressemble,
même camouflé car mouflé vous aviez joué ensemble.
Vos terres nourricières et leurs failles comme terrain de jeu
ne sont plus que des souricière ou l 'un sur l' autre vous ouvrez le feu.

Le fusil a l'épaule tu le pointes sur ton portrait caché
et un pugilat de psaumes n 'y pourra rien changer.
Constate que tes soldats sont bien morts épuisés
balafrant a coup d'épée dans l eau leurs propres reflets.

Alors bien sur que les dernières nouvelles du front ne seront pas bonnes,
car crâne contre crâne, l'onde de choc à chaudes larmes s'immisce.
Mystère sur les prémices d'un conflit interne:
Les duos deviennent duels à l'ombre des chemins d'Éden.

Je suis cet animal acharné,
qui s'extirpe et sort des charniers affamé.
Le vide dans le bide jamais rassasié,j avalerais sans fin mes proies.
Décharné, je suis...

Arborescence d'un mal boréal,ici il fait froid
et l on arbore l'étendard de son idéal comme on porte sa croix au combat. 
Aux aurores des soliloques narrent les croisades et leurs horreurs.
On se navre devant ses corps en loques, os dépouillés pour nos bonnes œuvres.
Aux grands guerriers les grands combats, et aux martyrs les mal-aimés,
les balles perdus, les mauvais tirs, les sacrifices insensés.
Tous esclaves d'une prétendue perfection. nos prétentions et leur sacres laissent acres
mes pensées épanchées sur nos actes, vas y dis le,combien d'entre moi, entre nous,
ai je conduis au massacre?

K-Lâme aka Junajah

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