Ô Dodo

Simon Berna

Hommage à mon auteur préféré, Lewis Carroll, sous la forme d'un poème surréaliste.

La morne lune luit sans éclat, le marchand de table ne va pas tarder à passer. Des éclats me dites vous ? Oui, mais de quoi ? De nuit, de boa ?

Espérons qu'il ne lui manque pas de pieds, encore qu'un marchand manchot, ça serait bas-                                                [l'eau.

Il s'approche de la maison de notre ami commun, mais si vous savez, le brun, point trop grand mais virgule trop petit, avec ce visage indescriptible et cette expression constante.

Enfin, notre ami comme pas un !

Il repéra le butor, un taureau vraiment pas comme ôde à la courte oisive.

                                Tout mes œufs de bonheur !

Je vend des tables : tableaux, tablettes, tabliers, tableur, tablée, tablent, tabloïd, et bientôt des tablures ! Ce sont des écorchures.


Le marchoir s'en approcha

Fragrance divine

« Mais qu'avez-vous mon ami ?

La fièvre de la cabine, donnez moi donc une bassine !

Dément Jaizon ! Ma tête est     en surchauffe. Le mercure grimpe, et m'enivre.

Je vais vous donner deux a dresse, ou vous pourrer vous reste au raie. Il nota le cas fait, et le reste au rang !


Après vous, je vous emboîterais le pas, ce si je ne prend pas la porte pour partir avec.

Tant de copeaux de boa !

Deux nuits et de boa, telle est la tartez-là. La carte est là, ne me confrapper pas !

Donnez moi plutôt une nouvelle athèle, un garde-pied.

Bistre !

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