Ode à l'Alcyon de pourpre

ezio-shulsky

Un oeil écorchement du monde pluies de sang à toi
l'inaltérable cri du son de tes visages blêmis par les lacrimales
immensités frêlement soyeuses

de noir en eaux 
vers m'ailes coulures 


aux reflets dégradés de nuptiale préciosité pour les

ailleurs courbures
rosie des tempes
en fronts de liesse


hôchements largesse
plans de lumière 
flambent le visage

qui m'abuse qu'il je sublime qu'en me sanglotez vous promptement

à tardez moi donc très vite stop / les nécessités vacarment 
il ne suffit pas de peler le soleil pour qu'il murmure
le ferait il lentement décrépis nous n'en apprendrions qu'en je
fange novice des premières catacombes je lait su , deux à , ah que donc,
que donc qu'ange m'étendez vous ils plumâmes nous courrurent
affamés d'éphémère éphèbant l'obole disgracieuse des humours
jaunes chastetés affriolantes 

cuistres mi-pandore mirador à étendards flétris,

vous m'ailez dans vos mares abscondes j'en nous crieriait bien ils je
pendirent les grâces bave par eux des circonstances de ses facéties.
J'hais si le vouliez vous les voulûtes nous les crûmes de vos plaisirs
Les Haletantes apitoyées sur les flottements

Je vous découverte et dans vos souriez vous me épancherons 
en mai aux crépuscules à l'éphémère et aux se t ' ils nous mirer
ce pudique soleil vaque âmes sur le nous. 

Le Quintessenciez futur je nous naissance
je vous prie !

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