Oh range

Jean François Joubert

les arbres sont cendre, la nuit est claire,

tiens une comète qui trou un nuage ! Eclaire.

que puis-je dire ? rien ! ne rien nier serait me plagier,

je me sens sans sens, sans montre et son aiguille... né nié

Le ciel pleure, les âmes crient, je me ballade en levant le nez,

rhum au cœur de la mer de stratus, alto-stratus, cumulus

et autre poussière de ouate, pourquoi, what !

Qui sais quand on calcule plus les watts,

de nos jours,


Refrain 2

je suis un perdu dans le système, un saule pleureur, qui convole vers l'ennuis, nué de moineaux, non, des étourneaux, que sais-je le je le dis rien ! et vous dansez le nez au vent, le nez devant la robe nue de la lune ouverte au ciel constant, jamais il ne prend la tangente ce cil, ville, île, dîne repaie toi en paix



Heureusement, dans un siècle dernier une dame de nage a sauver mon esprit comment ?

En m'aimant, tel ma maman, elle me bordais comme le lit

d'une rivière borde les champs auprès de la mer ! 

Un aber, au pays du Léon, mes vers s'y reposerons un jour,

je recule la date de la traversée de l'espace, tien mars ! toujours


Où le « pourquoi pas « ce bateau au nom qui me plaît,

je pagaies à l'avant le moteur est derrière, ennemie sacré

sacrilège, il m'allège je devient plume de mouette, et écrit,

coup de pagaie, une veine, un courant circule dans lanildut, scie

rutilant, rugissant, non calme, pour rentrer à bon port :

Tiens un ami, ce porcin vague qui ondule son groins d'or

je crève, je rêve plus, ma prison mes lèvres, mes cris

désole ma nuit est longue est sombre, naufrage en absurdie !

Refrain 2

Ce matin, une volute de fumée, je sais que je mangerai pas de nid

ni du goéland à la table de mes ancêtres,

mais je donne de la couleur aux couleuvres, une œuvre qui me secoue, j'aime mon regard d'acier sans véhicule, sans permis de conduire sur les reste d'un règne animal, les dinosaures, et mes z'amis sont des oiseaux, pie, pivert, alouette, chouette, fumette

L'hêtre me tire de ce naufrage, qui est-il, une ville, une île ?

Dieu que la Nature est belle, sans la condescendance dé Humain, le mendiant qui tends la main,  respect, des cache-nez

autant que le chien il est fidèle a son quartier, pas la montre, vil


Enfant joue a la marelle du lune au soleil, de la nuit, au levant

il peut être rouge, indien, boisson de mon silence, danse, ponant, si dense, si près du requin blanc, du dauphin, circulant

sans papier, sans sang bleu,  le sextant étang de mes transes

Enfant lance des toiles et fait des ricochets, joue rose, arrose

le cil du ciel la paupière d'adieux de souvenir, un jour adulte

refuse de calculer ton destin, de Calcutta à Chow-chow, Hulk

Soir vert, herbes sauvages, refuse la gestation, sans pollen, ose

Porter, une chemise, sans en faire une affaire de dosage, ose

Sortir a la lumière des rétros, boule bleu a facette, ne perds

pas la tête, Danse, chante, rie,   Sol a Do Ré, adoré, ton père

Reconnais le,  sa porte un chapeau, un arc-en-ciel sur le nuage, pause



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