Ombre

Ciré Ndjim

Mon oeil court ma peine diabolique

Le vent que berce mon réve avance

Et j'ai craqué devant ce doux visage

Le ciel qui réve m'étreint et je médite

L'hiver hait les exquis souvenirs

Moi je marche et les rues gantées de neige

Me font pleurer mais je ne pleure pas

C'est de la folie pleurer comme ça

Mon oeil mon orgueuille mon oeil

Ma foi je prie le ciel d'étre bien et bon

Les hommes les hommes écoutez-moi

Pas de sottises sois pudique poli

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