On m'aurait donc menti

praline

Je suis une vraie pile électrique. Ce soir je crois que c'est le grand soir avec Mathieu. Notre histoire a commencé de façon banale à une fête d'anniversaire d'un ami commun. Assis à côté de moi, il m'a beaucoup fait rire et je l'ai trouvé sexy en diable avec ses fossettes et son regard magnétique. Mais refroidi par une récente relation décevante (encore), je n'ai pas du tout cherché à le séduire ou à paraître attirante. Je suis restée très nature. Ce qui n'est pas toujours très bon signe surtout quand il y a du punch à volonté dans les parages.

Bref, je ne me souviens pas très bien comment s'est terminée la soirée. Ce qui est sûr c'est que Mathieu m'a ramenée dans mon appart et qu'il ne m'a pas touchée. J'en suis sûre, je m'en souviendrais et lui me l'a juré. Il m'a appelée le lendemain pour savoir si je me sentais bien. Très surprise par son appel, j'en ai oublié un instant la fanfare qui faisait un tintamarre du diable dans ma tête. Il m'a dit que je l'ai fait beaucoup rire mais que je ne devrais pas tout raconter à des inconnus. Aïe. Surtout quand il s'agit de sexe. Re-Aïe.

On s'est revu le samedi suivant, une soirée magique où il m'a rappelé mes propos de la soirée : je lui ai dit que je préfèrais ne plus avoir de relations physiques du tout, parce qu'il y avait manifestement une différence énorme entre ce qui est décrit dans les romans et la triste réalité et que l'orgasme je n'y avais jamais goûté. 

Je lui réponds que c'est totalement vrai et qu'avec mon précédent copain, je faisais la liste des courses dans ma tête pendant l'acte. Ce crétin arrogant et ennuyeux m'a même traitée de frigide.

Mathieu m'a souri, m'a regardé intensément et m'a dit qu'il était sûr du contraire. Il m'a embrassée. Depuis on s'est beaucoup vus, on a fait de chouettes sorties. Des moments magiques, vraiment. Mais il n'a même pas essayé de me toucher, rien. Des baisers oui, très bons d'ailleurs. Ce soir par contre, je sens que c'est différent. Il m'a invité à dîner chez lui...

Quand j'arrive devant la porte de son immeuble chic, j'ai la gorge noué. Il me fait monter, et quand il m'ouvre sa porte, il a l'air sincèrement très heureux de me voir. Je me calme. L'appartement est bien rangé, ça sent bon. Il me prend mon manteau. Je m'assieds sur le canapé, il me tend une coupe de champagne. Je bois une gorgée, et, il m'embrasse doucement, puis de plus en plus intensément.

Sa main puissante glisse sous mon chemisier, arrache mon soutien gorge. Il caresse et pince le bout de mes têtons. Je mouille. De l'autre, il enlève ma jupe. Je me retrouve en petite culotte. Il me regarde. "Qu'est-ce que tu es belle".

Il arrache mon slip, me carresse, son doigt glisse dans mon sexe. " Mmmmh, t'es déjà trempée. Ce soir, Lea, je vais te faire jouir." Je gémis sous ses caresses. Ses doigts me rendent folle. Il mord mes têtons, les lèchent. Il continue à me caresser de plus en plus fort, il m'enfonce deux doigts et je jouis sous ses mains. J'en tremble. Il enlève son T-shirt. Son torse est magnifique. Je lui caresse son entrejambe et je sens son érection à travers son jean.

Il se débarasse de son pantalon. Son sexe se tend grand et fort. Il s'agenouille sur le canapé et m'enfonce sa queue dans la bouche. Je le suce lentement, goulûment. Je gobe ses couilles. Il gémit. Je suis trempée. J'ai envie de sa bite en moi. Je n'ai jamais eu autant envie. Il me caresse. Et enfonce sa queue plus loin dans ma bouche.

Il la retire et m'allonge. Je n'en peux plus. " Je le supplie de venir".  Je n'ai jamais vu un sexe aussi grand et gros. J'ai peur d'avoir mal mais quand il s'enfonce doucement, je deviens folle. Sa grosse queue me remplit et quand il commence ses allers-retours, le plaisir monte. Je gémis. "Viens sur moi". Je tremble et m'assieds sur lui. Son sexe s'enfonce encore plus profondément en moi. Je ne maîtrise plus rien. Ses mains caressent mes fesses, et d'un de ses doigts il caresse mon con. Quand il l'enfonce dans mon cul, je ne réponds plus de rien. Je suis pillonée par sa queue dure et forte et il me branle le cul avec son doigt et j'en redemande. L'orgasme me terrasse littéralement. 

Il se retire, et me fais allonger sur le ventre. Il se tient derrière moi et enfonce sa queue dans mon vagin encore sensible. Il me pillone de plus en plus fort. J'aggripe les coussins, et je jouis à nouveau. Je sens qu'il perd pied et il jouit à son tour, il déverse son liquide chaud en moi. Il me prend dans ses bras. Il me souffle dans l'oreille qu'il n'avait jamais vu une frigide aussi chaude et trempée que moi. C'est clair qu'on m'a menti.

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