orchidée

Merlin Ngouffo

Edith belva

C'est une reine

D'une beauté qui prosterne les prêtres

D'une beauté qui extrovertie Les dieux des terres


Elle

C'était ma reine

Quand viennent l'aube

Et la clarté du jour

Son image reflète à l'horizon

Et quand le jour s'endort

Son doux regard et ses rayons

Font du ciel une constellation


Cette clarté

C'est une lumière

Ses mille rayons

Ont dissipé mes ténèbres

Saurez-vous la garder


Elle vous glissera des doigts

Saurez-vous la tailler

C'est la plus constellé

De toutes les trésoreries de l'univers


Saurez-vous l'aimer

Loin du pouvoir et des perles

Loin des fleurs et des artifices

Loin des aubes sombres

Et des crépuscules ensoleillés

Loin de ces tissus de mensonges

Que manient les hommes


C'est une reine

C'est même une déesse

Quand elle vous murmure ses mots

Ses paroles sont une mélodie gracieuse

Une énigme mémorieuse

Des amours applaudis


Saurez-vous vivre pour elle

Saurez-vous être près d'elle

Dans son fin sourire

Qui balaie tout mal de vivre

Dans ses caresses

Qui ressusciterais des morts


Et ses baisers

Serez-vous aussi près

Que ce soir des vacances

D'aurevoir de juillet 2014

Cette chaleur des temps glacials

C'était ma reine

A peine au bout des doigts

Elle m'a glissé


Elle

C'est une orchidée

Saurez-vous la protéger ?

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