over, game over

Mais ou es tu perdu dans ce labyrinthe
souris verte de rage, silhouette désuète
fuis ton espace, rejoins ton corps,
harangues ces foules ou tous sont morts
morts de ne pas avoir voulu mordre la vie
 
Bats toi, tu crois quoi, qu'il n'y a que toi?
Tu penses pouvoir y échapper, refuser tes émois.
Étrange est ta pensée, vaines sont tes colères
perdu dans la tourmente, tes larmes passagères
perte de contrôle, tu voles..... t'as eu ta dose...
 
Tes yeux se focalisent sur la couleur de la douleur
l'aiguille libératrice s'enfonce dans ton malheur
les goutes se fraient un chemin jusqu'à ton cœur
jusqu'à ta tête, mélange de couleur, illusion de bonheur
pourtant vite, très vite tu as peur....
 
Rien n'est fini tout recommence, la transe, le froid,
La dose libératrice et, un jour tu crève ici dans ce bois
elle était frelatée, ou tu en avais trop mis, mais le résultat
le voilà passé de l'autre côté. Maintenant tu t'en fou et voilà
pourtant, on t’a bien secoué, on voulait t'empêcher de l'aimer.
 
Cette merde que tu voulais dompter, c'est elle qui t'as dressé

Aujourd’hui tu n’es plus. Pourtant depuis longtemps tu n’étais

Que l’ombre que je croisais, que l’ombre que voyais à la pale

Lueur d’un réverbère Blanchard accroché comme un cannibale

A son dîner foisonnant dans tes veines de toxico….

C’est trop con….