Pamphlet pour adultes trop sérieux.
penelope
Où sont passé toutes ces années? Tout nos rêves, nos ambitions, notre monde imaginaire et sensible. Nous avons tout abandonné. Nous avons tout mit dans une boîte que nous avons bien rangé. Et depuis, nous ne traînons plus au rayon enfant,nous condamnons l'immaturité. Après tout, nous avons oublié que courir jusqu'à s'envoler procure. Nous avons oublié de nous arrêté devant de belles maison de poupée. Nous avons limité notre imaginaire parce que nous pensons que c'est mieux; que c'est ça être grand, être adulte. C'est être rationel et ne rêvé que ce à quoi on nous autorise à rêver.
Pourtant, il y a plus grand. C'est celui qui ne se roule plus dans l'herbe en été qui est condamnable.
Certains diront : 'Les enfants font ce qu'ils fairont adultes, tout comme nous faisions ce que les adultes faisaient ou comme nous voulions faire plus tard.'
Alors quels adultes pityoables nous sommes devenu. Nous ne sommes jamais devenu cow-boy, mousqutaire, mapitresse du lundi au mercredi et astronaute le reste du temps, je n'ai jamais gagné les J.O en robe de princesse. Nous avons détruit un monde où le seule fait de croire que c'était possible rendait les choses possibles.
Pourtant j'aime croire que les adultes n'existent pas. Que nous sommes toujours les enfants de nos parents, ces enfants qui faisaient de trois draps un château. Après tout, rien ne nous empêche de mettre un cape et d'aller faire l'avion dans le jardin. Rien ne vous empêche de voir la mer au plafond. Rien ne vous empêche de garder l'imagination sensible et sacré. Apart vous-même. Car nous ne sommes que des enfants qui ont grandis. Rien de plus.
Merci beaucoups!
· Il y a plus de 13 ans ·penelope
et Faire des concours de bulles de chewing-gum, ne pas se laver les dents avant d'aller dormir, ne pas corriger ses fautes d'orthographe (je ne dis pas cela pour vous j'en fais tout autant) etc ...
· Il y a plus de 13 ans ·Votre texte est beau et sensible et vous avez raison "nous ne sommes que des enfants qui ont grandi, rien de plus"
sophie-dulac