Pardon...

jabbar

À ma mère...

Pour tes nuits sans fin, 

Quand Satan de ses charmes,

M'attirait en ses reins,

S'abreuvant de tes larmes.

Ton amour est mon arme.

Comme une pluie de jasmins, 

La rosée que je cueille,

Sur ton front chaque matin,

Une caresse de satin,

Bouclier du Divin.

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