Pause

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   Je vais vous dire mon amie, j'aime pas les mots comme celui dont j'ai titré mon petit papier précédent, mais il faisait partie de la trilogie que j'avais de manière non préméditée improvisée ce matin  - il n'y a que les crimes que je ... non j'allais divaguer  ... - je vais vous dire, si certes ces gens d'Eglise à l'aune de leurs turpitudes se sont conduits comme les pauvres êtres que nous sommes trop souvent et substantiellement, détruisant d'un coup la crédibilité de l'Eglise, des prêtres, même si l'on dira que quelques uns ne sont que quelques uns - voire ! - sapant l'autorité du Pape, et plus encore la foi que l'on peut ou doit avoir en Dieu et donc en la résurrection, eh bien pour autant je ne leur jetterai pas la pierre ...

  Soit c'est discutable ... et quel désastre humain et spirituel ...

   Tiens dormir, boire et manger, lire de la belle littérature, randonner de par le monde, ou les chemins, ne plus parler, ne plus écrire, ne plus penser, puis recommencer dormir, boir .. à chacun son rocher ...

   Nous avons eu Me Too, l'Eglise, les gilets jaunes et ce n'est pas fini car on ne nous dit pas tout, mais le Diable est en Médiapart, en Elise Lucet de futurs canonisés, alors attendons ... 

...  Dans le jardin d'à côté un mimosa prend son essor, quelques pervenches sur un parterre, si je ne suis plus de moi que l'ombre et le dédain, je maintiens comme Aragon que l'homme est né pour la femme et né pour l'amour Tout du monde ancien va changer D'abord la vie et puis la mort Et toutes choses partagées le pain blanc les baisers qui saignent on verra le couple Neiger comme les orangers.

  Et moi je crois que je crois toujours en Dieu.

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