Perdue

atlaska

Il est tard, trop tard pour se réveiller de tout ces cauchemars, mais assez pour rêver de tout ces espoirs. Il est tard pour aimer, mais trop tôt pour abandonner. Ce brouillard me consume, j'y fond, je disparaîs, je ne suis qu'une ombre dans cette pénombre. Perdue, je suis perdue, me suis-je retrouvé ? Me suis-je déjà trouvé ? Tant de questions, tant d'émotions, pourtant sans aucune réponse. Tant de regards, tant de pleures, dans ce cauchemar de douleurs.

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