Plébéiens!

koya-al-gaad

Pour cause technique, ce poème ne peut être illustré.

De ces mécanismes inébranlables de pensée, où les idées s'enchaînent, se succèdent mais ne font que s'amonceler… Cessons donc toute accumulation !

Penchons-nous sur les principes, les idées critiques puis les logiques qui délitent et qui unissent, construisons cette mythique pensée logique !

Pour cela il faudra s'attarder, certes, mais aussi vagabonder entre savoir transmis et magique transe de l'intuitif : dans ces méandres de l'équilibre et harmonie, les opposés se repoussent puis t'attirent, se pétrissent d'une ironie presque satyre.

En son labyrinthe, Pan nous enivre et nous assomme, joue de notre âme d'homme et de ses moindres plaisirs ! Par sa flûte qui foisonne au gré de jouir, il nous abandonne auprès de Dante et ses supplices... côtoyant les affres mêmes du devenir.

En paradis et suites d'enfer l'on apprend, non pas de science dans les gènes car sans chute l'on se rend. La panse bien pleine de néant, l'on n'en est pas vide pour autant !

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