Pardonnez à cet homme bien affligé, Cette impéritie d'un monde virtuel. Maladresse qu'il ne crut s'infliger, Et pour laquelle il honnit tout duel. Ne souhaitant qu'une belle amitié, Soyez coite pour votre intimité. Pas, je vous en supplie d'inimitié Courroucée, gardons notre vraie beauté. Bien que de mes mots, vous en chercherez À savoir le sens de chacun des vers, Vous verrez, n'en lisant que le premier, Sincèrement, un message bien clair.
clair
· Il y a presque 13 ans ·walter-ego