Porn
menestrel
1974, dans une chambre d’hôtel gorgée de soleil, perchée au vingtième étage d’un immeuble récent de Rio. Par la fenêtre on distingue en contrebas la plage de Copa Cabana écrasée de lumière.
Marcello : Rha ! Rha ! Rha ! Rha !
Pernille : Mmmh ! Mmmh ! Mmmh ! Mmmh !
Ramon : Mrah ! Mrah ! Mrah ! Mrah !
Antoine : Ah bordel de merde de micro ! Ne vous embêtez pas les enfants le micro est mort. Je n’en ai pas de rechange et il faut qu’on finisse. La chambre est louée pour encore deux heures et vous aussi. On refera le doublage en post-syncro. Le producteur va gueuler, mais bon, on n’a pas le temps.
Marcello : Ah d’accord.
Pernille : Mmmh ! Ok ça marche.
Ramon : Mrah ! Mrah ! Mrah ! Mrah ! Hein quoi, qu’est ce qu’il a dit ?
Marcello : Le micro est mort on a plus besoin de gueuler.
Ramon : Ah ok, cool.
Antoine : Bon, on va changer, Marcello tu passes derrière Pernille et toi Ramon tu les regardes en te branlant sur le canapé.
Marcello : Ca va Pernille ? Je te sens un peu crispée ?
Pernille : Oui, non, c’est bon. Je sais pas ce que j’ai en ce moment mais je n’arrive pas à me motiver à bosser.
Marcello : je vois ce que tu veux dire. J’ai traversé une passe un peu similaire il y a quelque temps.
Ramon : Et comment tu as géré ça ?
Pernille : Oui Marcello, comment as-tu géré ça ?
Marcello : C’est tout bête. J’ai développé une activité créative à coté, pour meubler mon temps libre. C’est très stimulant. A la fin de la journée j’ai vraiment l’impression d’avoir fait quelque chose.
Pernille : Ah oui ? C’est super intéressant, et qu’est ce que tu fais comme activité artistique ?
Marcello : Bon, vous ne vous moquez pas hein…
Ramon : Mais non vas-y, dis-nous.
Pernille : Oui Marcello, dis-nous, vas-y.
Marcello : Eh bien j’écris des histoires courtes, des nouvelles comme on dit.
Pernille : Aïe !
Marcello : Oh pardon, je suis désolé j’ai glissé.
Pernille : C’est pas grave, j’ai été surprise, c’est tout. Des histoires courtes mais c’est fascinant, j’espère que tu me les donneras à lire !
Marcello : Je peux éventuellement te faire passer quelques copies carbones de mes tapuscrits, mais il faudra me les rendre.
Pernille : Bien sur.
Ramon : Ahahah !
Antoine : Bon sang Ramon, ne vient pas ! Ne fais pas le l’idiot !
Ramon : Ah bordel pardon, je serre… Ouf c’est bon ca descend. Désolé j’écoutais Marcello et Pernille, et je me suis branlé trop fort.
Ramon se met des grosses claques sur le gland tout en serrant les dents.
Marcello : Ah ! Ah ! Ah ! Sacré Ramon, t’en rates pas une !
Pernille : Ih ! Ih ! Ih ! Ramon t’es impayable, toujours aussi tête en l’air.
Antoine : Allez mon Ramon, va te coller en face de Pernille et offre lui ton membre quand tu es ok.
Ramon se pince le gland encore un moment, puis il se hisse péniblement hors du canapé pour s’agenouiller plein de vigueur face à Pernille, qui se saisit son vit.
Ramon : Vas-y doucement quand même Pernille.
Pernille : Oui oh ça va hein je fais ce que je veux.
Pernille lance un clin d’œil plein de malice à Ramon.
Marcello : qu’est ce qu’il fait chaud dans cette piaule. On en a encore pour long, Antoine ?
Antoine : On ne va pas tarder à conclure là on arrive au bout. J’aurai bien aimé refaire une double mais ça va être tendu.
Pernille : C’est le moins qu’on puisse dire !
Marcello : On pourra pas doubler la double !
Tous : Ah ! Ah ! Ah !
Macello : Putain vous êtes con ! Si vous me faites rire en plus, je vais pas tenir !
Antoine : Bon ça va, j’ai compris. Préparer-vous pour le final, ensuite on ira se boire une Caïpi dans le petit rade d’hier soir.
Pernille reste à genoux, tandis que les deux étalons se lèvent, au garde à vous. Elle les prend en main tous les deux tandis que sa bouche va de l’un autre.
Antoine : C’est bien ça Pernille, t’es vraiment une pro toi. Tu crois pouvoir les prendre en bouche tous les deux en même temps ?
Pernille : Bien sur Antoine.
Pernille s’execute.
Marcello : Oh bon Dieu, je suis en train de venir.
Ramon : Tu sais Marcello, j’aime bien quand nos bites se touchent.
Antoine : Bordel Marcello, non ! Ne débande pas maintenant !
Rideau.
J'ai bien ri!
· Il y a plus de 11 ans ·arthur-roubignolle