Porto

Frédéric Wyczisk

de passage à Porto

Porto

 

Quel peuple admirable

Navigateur inlassable

De Bacalhau , de vins nouveaux

En morue, porto…..abrigado

Humble, fière, travailleur

La vie simple , bien manger, chanter, danser et le labeur

Paisible, pas belliqueux

Folklore, bière et liquoreux

Chênes des tonneaux transpirant l'alcool

Chênes liège pour marie-conneries, bricoles

Du Douros fleuve d'or des Romains

Au pêcheur de mulets du petit matin

Et le soir fado, saudade

De la fade eau de vie à Trindade ?

La mer ou l'amère, Matosinhos

Ca grille la sardine le lusitanos

Les filles, jeans déchirés à l'air le nombril

Aimons baisons les yeux qui brillent

Pour que toujours se perpétue

Non pas perpète non pas tue

Mais les amours, les ébats on s'évertue

Pour qu'à Porto Tawny , Tony

Aussi les mœurs se bonifient.

 

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