Pour danser sur ses mots

solal

Oh comme ta plume est une aubaine. Comme j'aime y voir ce que j'y lis. Ces lettres noires et régulières, qui me racontent un peu de toi, qui tentent de me conter un peu parfois, et qui parlent d'un nous qui voudrait tellement exister. Et qui n'éclot que par tes mots. Comme je m'accroche à ces syllabes, chacune de tes phrases est une symphonie, je voudrais danser, danser sur tes paroles, demi-pliés et arabesques sur le murmure de ta missive... y a-t-il plus jolie mélodie que celle que me chuchote tes mots, « je pense à toi », « je rêve de nous » ?Comme l'on prend goût à ces caresses... A ces palabres un peu prose et un peu poèmes, dont la fragilité y sait égaler la puissance, la tendresse côtoyer la poigne... Il y a de la vie dans tout ça, et qu'à celui qui me dirait que l'encre des écrits, des manuscrits, a ça de mauvais qu'elle voudrait figer les mots, je lui répondrai qu'il n'a pas aimé. Tes mots se lisent, comme la partition d'une cantate se joue et s'interprète, s'envole à travers l'univers que l'ouïe se voudrait lui offrir. Tes mots sont en moi, sur moi, au dessus de moi, dans ce monde qui dépasse l'entendement, ils ont ce quelque chose insaisissable qui les place plus haut que ce que l'homme pourrait y comprendre, se targuant à raison d'un champ de possibles infini...Oh comme ta plume est une aubaine. Comme il y a de l'éternel dans ta poésie, de l'inachevé qui lui permet d'exister et de persister... 

Oh comme ta plume est une aubaine. Comme j'aime y voir ce que j'y lis. Ces lettres noires et régulières, qui me racontent un peu de toi, qui tentent de me conter un peu parfois, et qui parlent d'un nous qui voudrait tellement exister. Et qui n'éclot que par tes mots. 

Comme je m'accroche à ces syllabes, chacune de tes phrases est une symphonie, je voudrais danser, danser sur tes paroles, demi-pliés et arabesques sur le murmure de ta missive... y a-t-il plus jolie mélodie que celle que me chuchote tes mots, « je pense à toi », « je rêve de nous » ?

Comme l'on prend goût à ces caresses... A ces palabres un peu prose et un peu poèmes, dont la fragilité y sait égaler la puissance, la tendresse côtoyer la poigne... Il y a de la vie dans tout ça, et qu'à celui qui me dirait que l'encre des écrits, des manuscrits, a ça de mauvais qu'elle voudrait figer les mots, je lui répondrai qu'il n'a pas aimé. 

Tes mots se lisent, comme la partition d'une cantate se joue et s'interprète, s'envole à travers l'univers que l'ouïe se voudrait lui offrir. Tes mots sont en moi, sur moi, au dessus de moi, dans ce monde qui dépasse l'entendement, ils ont ce quelque chose insaisissable qui les place plus haut que ce que l'homme pourrait y comprendre, se targuant à raison d'un champ de possibles infini...

Oh comme ta plume est une aubaine. Comme il y a de l'éternel dans ta poésie, de l'inachevé qui lui permet d'exister et de persister... 

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