Psychophate, mythomane !
Jean Claude Blanc
Psychopathe, mythomane (sur l'air : il est libre Max)
Se conte des histoires, en cas de vagues à l'âme
Ne sont que d'illusions, hélas ça le damne
A vous faire prendre des vessies pour des lanternes
Personne croit plus en lui, tellement il nous berne
Il met de la magie vraiment dans tout ce qu'il fait sim, sol
A le sourire facile même pour toutes ses pépées la, sim
S'amuse à les niquer sans tomber dans les pièges sim, sol
Se lasse pas de bander, quel génial stratège la, sim
Vivant très bien sa vie et y'a pas plus tenace sim, sol
Ne fait aucun quartier quand il se met en chasse la, sim
Il est psychopathe, et même mythomane sim, sol
Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu violer la, sim
Il manipule les filles et n'a pas de remords
Complètement narcissique, reconnait pas ses torts
Plus qu'un antisocial, un vrai dingue indomptable
Pervers condamnable, pauvre type excusable
R
Déshabille les nanas, de ses petits yeux d'amour
Avant qu'elles réagissent, c'est aller sans retour
D'abord se fait discret, en choisissant son jour
Pour se les culbuter, et c'est là qu'il savoure
R
Se jette sur ses proies quand son corps est raccord
Vous en faites pas pour lui, sait doser ses efforts
Dans sa chambre solitaire, peaufine son traquenard
Son outil aiguisé, paré pour la bagarre
R
Lui cherchez pas des noises, il a perdu la boule
Pourrait vous étrangler, tellement ça le défoule
Première minette qui passe, la regarde pas en face
Sournoisement la mate, quel gros dégueulasse
R
C'est pas vraiment sa faute, n'a franchement pas eu de bol
Trois gosses à élever, n'était pas à la noce
Sa femme s'est barrée, lui reste que le pôle
Mais celui de l'emploi, pour ses mômes, faut qu'il bosse
R
Pour oublier ses peines, faut enfouir les souvenirs
Mais tellement ça obsède, faut trouver des martyrs
Comme éleveur de porcs, égorgeur et saigneur
On le surnomme sans rire céréale killer
Psychopathe, mythomane, il a tous les défauts
Devrait se faire soigner, il perd le ciboulot
Selon les cancanières qui se moquent de lui
Qui rêvent cependant le mettre dans leur lit
Jalouses miss poubelles ne manquent pas d'ardeur
Toujours en redemandent, qu'importe le serviteur
Dérangé de la tête, mais la bitte en bannière
Ce n'est pas le moment de faire des manières
Car c'est pas tous les jours qu'elles séduisent un amant
Celui-là à croquer, et même à sang pour sang
S'il n'est pas galant, se rattrape au grattage
Les femmes c'est connu, préfèrent les sauvages
J'ai repris à la lettre, paroles de cet aliéné
Bien qu'il soit foldingue, sait encore raisonner
Même à se demander qui est le plus fou des deux
Je préfère me taire, pas maitre de ma queue
N'en prenez pas ombrage belles dames s'il vous plait
Vous-mêmes un peu coincées, avides de supplier
« Prend-moi dans tous les sens, ce que c'est bon délirer »
Devriez peser vos mots, ça parait bien suspect
Il en faut des furieux, des sorciers allumés
Serait terne la vie, que juste forniquer
Chaque soir quelle corvée, mais après la télé
Miraculeuse nuit d'amour, pas bon pour la santé
Psycho ou bien mytho, c'est la science de l'épate
Faire la bête à deux dos, pas donné à tout le monde
Faut avoir grosse quéquette, pas être court sur patte
Les nanas bien trop prudes adorent qu'on les inondent
Stupres et fornications, noble carte de visite
Pour le professionnel, spécialiste de la bite
A vous douces demoiselles, faire notre fête charnelle
Afin de monter au ciel, d'évidence sans échelle
Enfin libre relax, ayant fait le max
Faire ses 4 voluptés, se sent même plus pisser
La morale de l'histoire, inutile la chercher
Ce sont que les beaux mâles qui sont les plus tarés
Mais les femmes aiment ça, les bourrins sans cervelle
Plutôt que les puceaux chanteurs de ritournelles
N'appartenant moi-même à aucunes de ces catégorie
Quand je vois une pin-up, je me fais tout petit
Pas comme l'autre malabar qui sort son outil
Narcissique le suis, et je m'en glorifie JC Blanc août 2016 (c'est que pour rire !!!)