Connectez-vous pour commenter
Quand je regarde l’immensité du ciel rien ne me vient
ernestin-frenelius
Quand je regarde l'immensité du ciel rien ne me vient
Je suis comme lui exempt
Du moindre nuage, du moindre mouvement
Je suis, tel celui qui me surplombe et me contemple, immense et serein
Que je ne m'y reflète pas me laisse incrédule, incertain, comme celui du petit matin
Mais m'apparait son œil ardent et implacable qui irradie le bleu miroir que lui reflètent nos vies
Pourquoi l'azur n'est-il pas vert
Et pourquoi n'ai-je pas les pieds en terre
Puisque ma tête se tourne vers le stellaire
Et que je ne rêve que de belles lumières
De celles dont-on cisèle au ciel des vers
Si incertains qu'il en devient cette image éphémère
Qui nous fait croitre et nous perdre en ses ténèbres éternelles