que du trop plein déborde la rime

k-lame

Je vis à l’ âge de sang, et de l’ H2O coule de mes prunelles en rage. 

Via le MIC, je le sens,

nos cordes se tendent, nos corps se tordent  et nos torts s’entendent.

Il est temps que nos discours s’engagent.

En  gage ma parole, mon son, et mes songes,

Je vous les laisse, l’espoir au ventre qu’avec mon itinérance naisse l’allégresse.

Je voulais laisser ma lassitude, qu’elle salive et me mette les mots à la bouche,

que même mes silences riment et que du chaos accouche

un semblant de vie sublimée,un chemin qui s’illumine.

Je flippe devant l’étendue du voyage mais les mains tendues,

je cherche et prétends quitter le naufrage.

Un seul souhait pour que je vibre:Que du trop plein déborde la rime.

Je vis à l’ âge de sang, et de l’ H2O coule de mes prunelles en rage. Via le MIC, je le sens, nos cordes se tendent, nos corps se tordent  et nos torts s’entendent.Il est temps que nos discours s’engagent.En  gage ma parole, mon son, et mes songes,Je vous les laisse, l’espoir au ventre qu’avec mon itinérance naisse l’allégresse.Je voulais laisser ma lassitude, qu’elle salive et me mette les mots à la bouche,que même mes silences riment et que du chaos accouche un semblant de vie sublimée,un chemin qui s’illumine.Je flippe devant l’étendue du voyage mais les mains tendues, je cherche et prétends quitter le naufrage.Un seul souhait pour que je vibre_:Que du trop plein déborde la rime.Loin des lamentations de l'âme en tension, de là m’entends -tu?Dans les micros sillons, l’angoisse lancinante lentement monte et jamais ne redescend. Regarde notre sablier, le temps s’y distille en sable mouvant. Se disent-ils savamment que perdre pied ici est un jeu d'enfant?Et ils se noient les frères, et elles se noient les sœurs.Et est-ce moi l’autre, qui erre dans ces dédales, la peur au cœur?J ai cru voir mon ombre dessinée sur les talus ensablés,pentes glissantes sans salut, prête à s'élancer dans un saut,déchue, dégringoler dans le vide, jusqu’à perte de vue.Et des grains volaient,voilaient l'horizon.Poussières d’un temps passé, d’un enfer qui n'a pas de saison.Il y avait bien plus d’un marchand de sablepour lester les corps et que les ombres ne s’évadent.A leurs étals s’évapore l’envie et sur leurs livres dorment des mots, l’encre a couché l’ennui.Mirage dans un désert de foi.Celui qui marche reste toujours sur la voie.T'arrête pas ! de battre et battre pour la fratrie. Faut que le sang cogne les parois, un son même pour les parias.Alors si j ai perdu le sens de ton écriture c’est que j ai peur du sang et d’tes cris j’te jure.Je sillonne et passe à travers ces silhouettes,j' attendrais encore le sceau d’un ange caché dans tes lettres.Mages à la prose agile,écoutons les signes!Et signons nos textes de cette main paisible.Un seul souhait pour que l’on vibre: Que du trop plein déborde la rime!Quand le doute obscurcit nos voix les destins chaloupent. Et s’éteignent parfois les derniers sons des enfants-rois.Un chrysanthème sur la bouche au bout de l’effroi. Alors j avance, je rêve et parfois... je crois.

Quand le doute obscurcit nos voix les destins chaloupent. 

Et s’éteignent parfois les derniers sons des enfants-rois.

Un chrysanthème sur la bouche au bout de l’effroi.

Alors j avance, je rêve et parfois... je crois.

Loin des lamentations de l'âme en tension,

de là m’entends -tu?Dans les micros sillons,

l’angoisse lancinante lentement monte et jamais ne redescend.

Regarde notre sablier, le temps s’y distille en sable mouvant. 

Se disent-ils savamment que perdre pied ici est un jeu d'enfant?

Et ils se noient les frères, et elles se noient les sœurs.

Et est-ce moi l’autre, qui erre dans ces dédales, la peur au cœur?

J'ai cru voir mon ombre dessinée sur les talus ensablés,

pentes glissantes sans salut, prête à s'élancer dans un saut,

déchue, dégringoler dans le vide, jusqu’à perte de vue.

Et des grains volaient,voilaient l'horizon.

Poussières d’un temps passé, d’un enfer qui n'a pas de saison.

Quand le doute obscurcit nos voix les destins chaloupent. 

Et s’éteignent parfois les derniers sons des enfants-rois.

Un chrysanthème sur la bouche au bout de l’effroi.

Alors j avance, je rêve et parfois... je crois.

Il y avait bien plus d’un marchand de sable

pour lester les corps et que les ombres ne s’évadent.

A leurs étals s’évapore l’envie

et sur leurs livres dorment des mots, l’encre a couché l’ennui.

Mirage dans un désert de foi.

Celui qui marche reste toujours sur la voie.

T'arrête pas ! de battre et battre pour la fratrie.

Faut que le sang cogne les parois, un son même pour les parias.

Alors si j ai perdu le sens de ton écriture 

c’est que j ai peur du sang et d’tes cris j’te jure.

Je sillonne et passe à travers ces silhouettes,

j' attendrais encore le sceau d’un ange caché dans tes lettres.

Mages à la prose agile,écoutons les signes!

Et signons nos textes de cette main paisible.

Un seul souhait pour que l’on vibre: Que du trop plein déborde la rime!

Quand le doute obscurcit nos voix les destins chaloupent. 

Et s’éteignent parfois les derniers sons des enfants-rois.

Un chrysanthème sur la bouche au bout de l’effroi.

Alors j avance, je rêve et parfois... je crois.

K-lâme aka junajah

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