Réponse à MASCULINISME PERVERS

Chers amis correspondants et lecteurs, que non lectrices au vu des réactions au manifeste ZERO-MACHO (Des hommes sur des grues, et alors?) :

 Je vous recommande vivement de vous rendre sur notre site http://www.zeromacho.eu/  de vous y informer et de vous instruire.

Vous dire ensuite que je suis moi-même divorcé volontaire d'une personne chère qui m'a jeté et rejeté en tant que victime moi-même et survivant de la pédocriminalité (nombreuses années d'abus dès mon très jeune âge et jusque dans l'adolescence avancée “de la main de personnes de l'entourage et d'éducateurs” sic ).

Étant parti vivre avec elle dans son propre pays avec nos enfants (donc dans la gueule du loup/louve), suite à deux pertes successives de jobs, et donc sans appui d'une famille propre face à la sienne.Empêché de recevoir mes enfants dans un premier temps, j'ai lutté pied à pied pour forcer la situation et les avoir à dormir chez moi au moins un week-end sur deux, puis, lorsque mon fils a seulement eu 14 ans, faire voir qu'il avait le choix de vivre avec son père, et obtenir ce droit (ma fille ne voulant pas “abandonner sa mère” sic). Rien à dire sur le règlement de pension sauf que mes participations étaient niées ou minimisées.Interdit de contact avec les cousins et la famille maternelle de mes enfants. Excuse officielle : je l'avais moi-même abandonnée (huit jours d'absence pour prendre des distances nécessaires à un dialogue constructif). Important à souligner : j'aimais cette femme et nos enfants.Durant des années (au moins 18 ans), j'ai toujours tenté de dialoguer, tout en reconnaissant son rôle de mère et son action non parfaite en tant que telle. J'ai parallèlement rencontré d'autres personnes et cela a été transmis comme des trahisons. J'ai constamment et quotidiennement veillé au bien-être de nos enfants, faisant force de toute mon énergie, sur tous les plans. J'ai attendu pour le divorce que mes enfants acceptent “ce bout de papier”. Je vis actuellement à 2.000 km d'eux et de mes petits-enfants. Avec tout cela, vous dire que le mariage est pour le meilleur et pour le pis et que, lorsqu'on a des enfants, c'est ceux-ci qui ont la priorité. Je ne me suis jamais remis en ménage ni remarié. Je suis 5 x heureux grand-père. Je ne conserve aucune rancœur : l'existence est ce qu'elle est, il y a toujours du bon et du moins bon. Je suis toujours resté courtois avec la mère de mes enfants, même si elle a tenté dans ses confusions de me faire perdre jusqu'à la Patria Potestad. Conclusions : nous sommes toutes et tous humains dans ce monde chaotique et incohérent et personne n'est à l'abri de grosses erreurs et/ou de moments de méchanceté, de confusion, de contradiction, d'aveuglement. Ma position face au féminisme égalitaire (3° mouvement) reste et restera inébranlable et ma profonde révolte pour le mensonge fait à la condition féminine autour du globe, tout autant. Ma solidarité ira toujours dans ce sens. La perversité peut venir d'une femme autant que d'un homme mais, dans 95% des cas, ce sont des hommes qui agressent, tuent et/ou violent des femmes et des enfants. Merci de votre intérêt. Je ne vis ma vie ni comme une victime ni comme un héros mais comme adepte du Kharma Yoga et profondément croyant en l'Humanité, en son progrès et en la Liberté.

Victor Khagan – février 2013