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Réveil au marteau-piqueur
rechab
Cogne- cogne sur le bitume.
Franchis le mur du silence
et perce la brume ,
( j'ai comme les oreilles en transes )
cela vaut bien le soleil
qui se pose sur ma tête ,
je me passe du réveil
( déjà ça goutte dans la cuvette )
j'avais la flemme de me lever
mais mon marteau-p'tit cœur
vient me déconnecter
( et m'indique aussi l'heure )
Bon pied, bon oeil
je me décide à mettre un pied par terre
- faudrait être dur de la feuille ,
pour ignorer ce boucan d'enfer - :
je m'habille en vitesse,
et enfile mon costard :
( que je bouge mes fesses,
j'ai un train à prendre en gare... ! )
-
RC