Est-ce toujours ce pont que j’emprunte, brûlant, Sous l’averse de pluie de tes yeux, à l’envie ? Est-ce toujours le même espoir de ma folie, -Au concours de l’amour,- qui me mène battant ?
Donne-moi tes trésors sous la pointe du jour, Comme un rêve d’enfance où la profonde ivresse Nous rappelle sans cesse à l’amour de jeunesse, Donne-moi tes mains d’ors pour déposer l’amour.
Oh je suis fou de toi, de tes rêves d’opales, Songe ce que je fuis, et m’invite à ce bal, Sous ce campanile de tes trésors cachés.
Rêverie opaline au soleil de ta vie, L’envie emplit mon lit de tes si doux délits Révèlent dans mon cœur, l’amour de ta beauté !
63. Rêverie opaline
· Il y a presque 11 ans ·Est-ce toujours ce pont que j’emprunte, brûlant,
Sous l’averse de pluie de tes yeux, à l’envie ?
Est-ce toujours le même espoir de ma folie,
-Au concours de l’amour,- qui me mène battant ?
Donne-moi tes trésors sous la pointe du jour,
Comme un rêve d’enfance où la profonde ivresse
Nous rappelle sans cesse à l’amour de jeunesse,
Donne-moi tes mains d’ors pour déposer l’amour.
Oh je suis fou de toi, de tes rêves d’opales,
Songe ce que je fuis, et m’invite à ce bal,
Sous ce campanile de tes trésors cachés.
Rêverie opaline au soleil de ta vie,
L’envie emplit mon lit de tes si doux délits
Révèlent dans mon cœur, l’amour de ta beauté !
© Patrice Merelle 06-02-2014
Patrice Merelle