Revue du film "Les Amants" de Louis Malle (1958)

robert-de-saint-loup

Mon mari dijonnais a déjà des cornes à tel point qu'il passe plus les portes, mais mon amant Raoul l'espainguoin commence à me fatiguer aussi avec ses remarques plan-plan. Alors je pars faire un tour en barque avec un automobiliste que je viens à peine de rencontrer, et emballez, c'est pesé ! On se casse en Dodoche du manoir de Dijon, bye bye les deux gusses éberlués, mais on a à peine fait cent mètres que déjà je regrette. Et ma copine Maggie, personne en veut ?

Jeanne Moreau, femme libérée avant la lettre

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