Rosita
scribleruss
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C'est en prenant mon petit déjeuner vers quatre heures cinquante que pour la deuxième fois et encore ce matin j'entends sur France Info ( 105.05 pour les intimes nantais ) la chronique sur ce livre qui définit semble t-il une méthode pour libérer les femmes de l' esclavage de ce quotidien qui l'éreinte et l'éreintera à vie quoiqu'elle fasse, qu'elle dise, et quoiqu'en crient les féministes à tout crin.
Certes l'homme, le bonhomme, le mari, le compagnon, le Jules, le mec, se bonifient un peu mais si peu et si lentement et notamment parce que d'abord les femmes savent, disent-elles, s'agissant du pratique mieux faire que nous ... soit !
Donc qu'elles lisent " Se libérer de la charge mentale ". Une semaine pour guérir du syndrome de rosita.
Faisons un copier/Coller de la présentation du bouquin.
« Rosita venait d'avoir quarante ans et ses deux fois vingt bougies lui avaient craché au visage que le compte à rebours allait commencer et qu'il était temps d'en profiter.
En profiter ? Mais comment ? Elle qui, chaque matin, attaquait sa journée par une course vertigineuse, où chacun de ses gestes était parfaitement orchestré, chronométré, réglé au dixième de seconde près ! »
Derrière Rosita se dresse le portrait de toutes les femmes actives du XXI e siècle, atteintes d'un mystérieux syndrome :
l'association d'une formidable aptitude à tirer sur la corde mêlée à une incapacité totale à tirer la sonnette d'alarme. À râler de devoir tout gérer, sans jamais solliciter de soutien. À déplorer de mener une vie à mille à l'heure, tout en continuant d'appuyer sur l'accélérateur. Quels sont les autres symptômes associés à ce syndrome ? Pourquoi apparaissent-ils ? Comment les soulager ?
Autant de pistes creusées par Laurence Bourgeois à travers un parcours thérapeutique d'une semaine visant à faire définitivement tomber votre panoplie de bonne à tout faire.
Laurence Bourgeois est l'auteure de plusieurs ouvrages sur le développement personnel et l'efficacité professionnelle. Experte en ressources humaines, elle intervient sur le bien-être au travail… et ailleurs.
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Ce livre paraît être ce sucre d'orge salvateur qui ferait de la vie des femmes une félicité ce que je souhaite vivement observant toutefois et sachant que moi ma vie est finie, que je m'en tape d'autant que je l'ai aidée, Elle, quoiqu'elle dise, mais je perçois plus dramatiquement que les générations des filles et femmes des vingt, trente, quarante ans n'ont rien à faire de Rosita préférant et délibérément se fourvoyer, se vautrer, s'exhiber sur Internet, Sites de rencontres, Facebook, Tweeter, Skype, Instagram, whatsapp ... Le reste on fait ce qu'on peut, elles font ce qu'elles peuvent ou veulent ...
Ah ! Rosita ! je t'aime, je ne peux plus grand-chose pour toi mais tu n'as pas encore fini d'en baver... pour des siècles ... ...
µµµ
Merci !
· Il y a presque 6 ans ·Lady Etaine Eire