Rouge
leternelle-insatisfaite
Y’a du rouge qui coule dans mes veines.
C’est pas du sang.
C’est du vin. Du vin qui me rapproche une fois de plus de tes lèvres.
Du vin, qui a son goût mêle à son tour, notre vieille histoire d’Amour.
Un vin, qui ressemble drôlement au saignement de mon âme.
Je courais droit vers toi, le coeur à la main, les idées précises et déterminés.
Tu m’as rejetée. Je t’aurais donné la vie.
Est-ce que tu sais que quand je fais l’Amour, rien ne se comparerait à tes yeux.
Rien, à nos corps nues entrelacées qui se promettent des idées d’éternités.
Savais-tu que quand je ferme les yeux, dans la noirceur, il y la nôtre.
L’intimité perlé de noir qui frôlait nos corps encore éblouie de l’éclair qui venait de vous atteindre.
Nos vêtements hors du champs, nos mains qui parcouraient le sens de nos courbes, le sens de nos désirs. Nos sens qui divaguaient de pulsions à émotions.
D’extra sensibilités qui berçaient nos coeurs à peine endormie, de rêves de fusions, de désirs qui n’étaient qu’à ce jour, de profondes vérités prête à tout moment à devenir ancrés dans nos corps.
Mon verre se vide à la mesure où mes idées s’entremelent. J’ai envie de tout te dire. De faxer droit vers toi, ce message incohérent, ce message qui ne dirait pas plus que l’ignorance qui se forge entre notre amour.
Un amour, qui à mon gré, cajole encore mes journées et mes nuits froides. Je rêve d’un amour si beau, d’une histoire que je n’arrive plus à me crée sans toi, alors je m’accroche.
Je m’accroche à des cadavres, des squelettes endormies dans mon lit, dans mon sexe. Tout les jours notre assassinat, je leurs offre à boire, je leurs dit que tout irait bien, que la vie sans toi, c’est une vie avec toi. que dans chaque particules de peau, il y aurai ton touché, ta douce et suave voix qui endormirait mes moindres failles, mes moindres peurs.
L’Esprit apeurée, t’es là. Couchée sur mon corps, nue et ensanglantée, Inconsciente et amoureuses, tes yeux sont droit dans les miens. Ensemble, on peint un tableau d’absurdité. Un tableau qui joui d’amour. Il éjacule de droite à gauche pour m’étouffer de sentiments trop puissant pour tenir dans mon petit corps.
Tu vois, comment je divague, à quel point ton amour, ton passé, le temps qui s’est forgé entre nos poitrines. Regarde ta montre, tu verras. Oui, mon petit nuage, il a plus de centaines de nuits où mon corps n’est pas abrillés du tiens ? Tu y crois? Moi, jamais.
T’es toujours présente, tu cajoles mon esprit et mon corps. Tu ne le sais pas, mais ton esprit, ton âme, il est toujours avec moi, kipnappé par la dureté de la vie. Par l’incohérence qui court les rues. Mon petit trésor, les mensonges font parties d’une part tellement grande de notre histoire, je ne peux passer inaperçu l’hypocrisie qui dort entre nous. De tout ça, je m’en fou, car je vis.
Mon corps respire, il s’alimente, aime, joui à cause de toi. Je bougonne, j’ai envie de tué, à entendre des mots comme aimer, qui sont prononcés par d’autres sourires que les tiens, par d’autres mains que les nôtres, j’explose. Je meurs. Meurt de savoir que les plus beaux mots, les plus belles douceurs corporelles sont consacrés à une pouffiasse que tu ne disais plus aimer. Une salope qui couvre ton corps ce soir et demain, et encore peut-être le mois prochain, tandis que moi je respire le corps d’un autre pour endormir les soupirs de mon corps. Je meurs de ton amour, je me meurs de ce moustique qui lors de mes 15 ans à franchi ma peau, pour ne plus jamais lui sortir. Tu es comme un sortillège, et au fond tu ne mérite même pas tant d’espoirs…
mais écoute-moi bien c’est plus fort que moi, ton m est ancrée en toi, le l est ancrée en moi. Et j’espère de tout coeur que l’orgasme qu’elle te donnait te ferait penser le plus moindrement du monde à moi. Ce soir, cette nuit à 3h27 du matin, le vino à la main, et le coeur pillée, je pense à toi, encore et encore, et je donnerais tout pour t’offrir un calin d’une délicatesse, d’un amour que tu croyais mort. Oui, bébé. l’amour existe, et il est dans mes yeux. Reviens-moi. Je le sais qu’un jour tu serais dans mon corps et qu’ensemble on gâchera tout encore, mais voilà tout, t’es l’inaccesible qui fait qu’en cette froide nuit de décembre, t’es mon petit repère tranquille. Je te dirais des mots que je connais plus, des mots que j’emploi à outrance, JE T’AIME