Scène de crime absurde.

Kostia Chaix

Hommage à la bête humaine d'Emile Zola

Ils étaient allongés dans l'ombre

Deux corps ici inconnus!

Une union sous les décombres.

Ils ne bougent plus.


Dans un léger rayon de lune

Ils c'était remit à trembler

L'homme menait la danse

La femme était allongé.


Elle avait la gorge lisse

Et la chevelure blonde

Une peau qui se plisse

Sous le caresses vigoureuses.


Ses yeux étaient fermés

Plus de souvenir aux lèvres.

On la sentait respirer

Souffler la petite mort.


Il la regardait sans compassion,

Mais ressentait

Une grande passion.


Il admirait cette poitrine

Ronde et généreuse

Qu'il avait tranché

A coup de trique perforeuse.


Il n'avait pu de retenir.

Maintenant il pleurait.

Il avait envie de vomir

Quand sur son corps le sang coulait.


Ses belle mains ne se baladeront plus.

Plus jamais il ne pourra embrassé son cul.


Il rangea la lame

Avec laquelle il avait tué

Puis dans la nuit les alarmes

De police se mettaient à pleurer.


Quelque minutes plus tard

Il avait disparu.

Encore une fois ce soir

La bête était repue.

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