Scène de crime absurde.
Kostia Chaix
Ils étaient allongés dans l'ombre
Deux corps ici inconnus!
Une union sous les décombres.
Ils ne bougent plus.
Dans un léger rayon de lune
Ils c'était remit à trembler
L'homme menait la danse
La femme était allongé.
Elle avait la gorge lisse
Et la chevelure blonde
Une peau qui se plisse
Sous le caresses vigoureuses.
Ses yeux étaient fermés
Plus de souvenir aux lèvres.
On la sentait respirer
Souffler la petite mort.
Il la regardait sans compassion,
Mais ressentait
Une grande passion.
Il admirait cette poitrine
Ronde et généreuse
Qu'il avait tranché
A coup de trique perforeuse.
Il n'avait pu de retenir.
Maintenant il pleurait.
Il avait envie de vomir
Quand sur son corps le sang coulait.
Ses belle mains ne se baladeront plus.
Plus jamais il ne pourra embrassé son cul.
Il rangea la lame
Avec laquelle il avait tué
Puis dans la nuit les alarmes
De police se mettaient à pleurer.
Quelque minutes plus tard
Il avait disparu.
Encore une fois ce soir
La bête était repue.