Seattle, indian summer

François Vieil De Born

Nautical evening twilight,

 

Crépuscule tiède, navigation dans les herbes hautes d'enfants secrets et occupés. Dans les conversations, il est question de Gerschwin, de géraniums, de Ziegler et de Sydney Laurence, de réserves indiennes,

 

« Remous de pagaie dans l'eau noire

Et scalps dégoutant de sang »

 

de bois flotté, ensablé et blanchi dans les anses, du passage des orques, de la construction ou non du Boeing 777 et de la convergence, de logiciels, de pins Ponderosa, à l'est, et du crime à Coronado, très au sud. Ici ce sont les cèdres, les Douglas, les pommiers, et les myrtilles, l'organisation des jeux de hasard réservés aux indiens.

 

De nombreux instants hors de l'intervalle, dégagés du temps destructeur et égalisateur, il y a quelque chose plutôt que rien, tes cheveux soudain dénoués.

  • Vos commentaires m'auront donné l'occasion de vous lire aussi, et je pense que le blog de "la boite à mots" est de très bon conseil. Quand à Corine Noverraz, un traitement de l'exotisme (miroir de ..) qui donne envie d'ouvrir des gousses de vanille.

    · Il y a environ 13 ans ·
    Oph%c3%a9lie n

    François Vieil De Born

Signaler ce texte