Some Like It Hot

Jerry Milan

Je marchais sur le trottoir de gauche entre le palais de justice et la préfecture à la recherche d'une boulangerie encore ouverte et surtout avec du pain disponible. N'importe lequel...La nuit commençait à tomber doucement, mais il faisait encore presque trente degrés celsius. L'été battais son plein et les nuits étaient très chaudes. J'étais presque arrivé à la hauteur de la petite vitrine signalé par son halo de lumière et je m'apprêtais à rentrer quand une voiture stoppa à ma hauteur. J'avais remarqué cette voiture qui suivait doucement mes pas depuis une cinquantaine de mètres car elle roulait à gauche, mais j'ai décidé de n'y prêter pas plus d'attention que ça. Jusqu'à ce qu'une voix m'interpella:

''Hé beau gosse, tu peux nous prendre du pain?''

Une voix féminine se mêlant au rires et gloussements divers. En me retournant, m'apparut un joli minois d'une blonde au fur et à mesure que sa vitre basait. Je me suis approché de la portière et jeté un coup d'oeil à l'intérieur. Dans l'habitacle, trois nanas. La blonde à la vitre me tendit un billet:

''Ca te dérange pas au moins ? Cinq baguettes s'il en reste, s'il te plait...''

Les autres gloussaient toujours,'' et, si t'allais prendre du pain pour toi,on va à une soirée et on t'invite si tu veux. Il y aura assez à manger !''

Pourquoi pas après tout, je n'avais rien de spécial à faire et j'allais me vautrer en solo devant la télé. Nous étions un samedi soir et une petite sortie tombait à pique. J'ai raflé à la boulangère de ce qui lui restait en baguettes et j'ai rappliqué dans la voiture. Les filles étaient sympa et mignonnes. Une brune et deux blondes. Celle qui conduisait était carrément canon. Et elles étaient déchainés. Les présentations faites, elle m'expliquèrent qu'elles faisaient une petite soirée entre amis et qu'il leur manquait un mec pour que tout soit bien équilibré. Trois nanas et trois mecs.

La soirée se passait chez la brune. Quand nous sommes arrivé dans son petit appartement dans un immeuble bourgeois, le deux types étaient déjà là et tout était prêt. La musique, la lumière tamisé et le buffet servi sur une table près de la fenêtre ouverte sur une terrasse. La brune et une des blondes c'est sont précipité sur eux et c'est celle qui conduisait qui me présenta. C'est donc à elle que j'allais servir de cavalier? Putain, j'avais gagné la plus jolie du lot. Une vraie Ferrari. Elle s'appelait Betty et travaillait comme hôtesse de l'air pour une grosse compagnie aérienne. Tout le monde était très cool et avait un métier très en vue. Il n'y avait que moi qui faisait tache, mais intéressante à leur yeux. En effet, un musicien et shaper de planches à voiles était moins banal que comptable ou avocat. Quand nous avons attaqué les apéros, ils se sont mis à me poser un tas de questions. Et comment fabriquait-on un flotteur de planche et puis la musique etc,etc...La soirée avançant, nous avons bien picolé et bien ris. Au petit matin le couple blonde s'est barré et le couple brune et allé se coucher. Restait Betty, moi et le canapé du salon. Je n'avais aucune envie de bouger alors elle a pris le canapé et moi les coussins parterre. Vers midi une bonne odeur du café chaud nous a sorti du coma. Le petit déjeuner était servi sur la terrasse. La journée s'annonçait belle et ensoleillée alors le débat est venu sur l'activité de l'après-midi. Evidemment, ils voulaient tous aller faire de la planche avec moi. Le gars avait déjà navigué mais n'avait pas son matos, et les filles étaient toutes désireuses d'apprendre. Nous nous donnâmes le rendez vous chez Betty qui habitait un petit studio en bord de mer situé a deux ou trois kilomètres de l'endroit où se trouvait mon magasin avec son atelier de shape ainsi que le van dans lequel je vivotais au bord de la plage. C'était la Californie. J'avais une autre voiture, une vielle DS21 Palas que j'ai chargé de deux funboards, wishbones et voiles et je suis parti chez Betty. Le couple brune n'étant pas encore arrivé, elle m'invita à boire un coup. Il faisait très chaud et son studio était très mignon, tout à l'image de sa propriétaire. J'avais une envie folle de lui rouler un patin, mais je n'osais pas. Le téléphone sonna. Le couple brune s'excusait, mais avait un empêchement et ne pouvait pas venir. Nous décidâmes de partir seuls pratiquer les joie du windsurfing. La seule plage qui n'était pas trop fréquenté un dimanche après-midi était celle des nudistes. C'était aussi un bon spot des windsurfers locaux avec un accès facile pour la mise à l'eau et où être nu n'était pas vraiment indispensable. Je venais souvent à cette plage, car tu pouvais en totale liberté te foutre à poil ou garder ton maillot. Et l'endroit était très prisé par des belles femmes amatrices du bronzage intégral. Quand j'en ai fait part à Betty, elle l'approuva immédiatement car elle aussi s'y rendait souvent.

Pendant que j'étais en train de préparer le matériel et gréer la voile, elle se déshabilla et sauta à poil dans une mer fraiche. J'ai amené le windsurf tout en gardant mon short. La leçon pouvait commencer. Les conditions étaient idéales avec juste une petite brise. J'ai fait d'abord la démonstration comment sortir la voile de l'eau en utilisant le tire veille. Quand Betty grimpa sur la planche en me présentant son superbe postérieur et malgré l'eau fraiche, j'ai eu une petite érection. Il faut dire que cette fille était magnifiquement bien proportionné. Blonde naturelle avec une chevelure à mi-dos, grande et mince équipée d'une belle poitrine et d'un beau cul naissant dans une taille très fine. La leçon a duré un petit moment, elle se fracassait dans l'eau ou dans la voile en me mettant en permanence ses attributs sous le nez. Puis elle réussit enfin à décoller. Elle partit assez loin puis elle tomba et n'arrivait plus à remonter la voile. Je la voyait galérer et j'ai décidait de la rejoindre à la nage. Ca m'a pris un petit moment. Le jour commença à décliner et la plage était presque vide quand nous sommes revenus. Je l'ai tiré accroché à la planche, mais il n'y avait pas assez de vent et nous avons mis un moment avant avoir pieds. Elle se colla à moi et me roula une pelle énorme pendant un long moment. Je sentais le fond se dérober sous mes pieds qui s'enfonçaient dans le sable mou.

J'ai attrapé alors la Ferrari et l'ai assis sur le flotteur, j'ai écarté ses jambes et fourré mon nez entre ses cuisses. Elle était partiellement épilé et avait un gout d'eau de mer. Nous avons joué comme des gamins dans les vaguelettes à quelques jeux interdits. Puis j'ai tombé le short et à mon tour de me faire sucer. Elle savait faire. Nous avons fait l'amour à nous même et à la mer face au coucher du soleil, c'était sublime. A la nuit tombé, j'ai rangé le matériel et l'ai ramené chez elle. Nous avons continué les leçons puis sommes tombé dans un sommeil profond. Le matin, épuisé, je me suis trainé jusqu'à la boulangerie pour acheter quelques croissants et pains aux raisins.

J'ai pris une bonne douche car dans mon van j'en disposait pas.

Habituellement, j'utilisais les douches et les toilettes d'un camping se trouvant à quelques pas du magasin. Betty est partie pour l'aéroport rejoindre un vol en promettant de passer me voir à son retour. Notre relation a ainsi duré quelques temps par intermittence, mais au début de l'hiver, j'ai fermé le magasin et déménagé mon atelier dans une maison de vigneron dans l'arrière pays. Les visites se sont fait plus rares.

Je m'y suis réfugié pour bosser à fond. Au bord de la mer je n'y arrivait pas vraiment. J'avais toujours un ou deux potes qui passaient au magasin ou le vent se mettait à souffler, alors je fermais et sautais à l'eau pour naviguer avec eux. Les samedis soirs du beau temps on tirait une ligne électrique à travers la route jusqu'à la plage pour installer une sono et le matériel de musique et on improvisait un concert avec mon groupe ou avec d'autres musiciens. Une petite scène en palettes situé juste devant le poste de secours en planches de la gendarmerie. A cette époque, personne ne faisait encore chier personne pour rien et il restait un semblant de liberté pour ce genre d'actions. Il ne fallait par contre pas qu'il y ait une moindre couille. Sinon, c'était la fermeture. C'est forcément arrivé un jour pour des sombres raisons que je n'ai pas envie d'évoquer ici, alors j'ai pris mes clics et mes claques, mis la clé sous la porte et je me suis tiré à la campagne. J'avais aménagé le sous-sol de la maison en un atelier de shape et j'y passait des journées et des nuits entières à bosser la coke aidant. De toutes façons, il n'y avait rien d'autre à faire dans le bled. Les vendredi soirs les potes et les copines débarquaient avec la bouffe, les boissons et la coco pour faire la bringue. Pour ça aussi, l'endroit était bien tranquille. Betty est venu à plusieurs reprises et a amené d'autre copines qui revenaient à leur tour quand elle n'était pas là. De temps à autre l'une d'elles restait avec moi quand tout le monde était parti. Il y a eu une espèce de turnover qui s'est installé, alors je ne manquais jamais ni de coke, ni de sexe. Un jour, elle n'est plus revenue...

A la fin de l'hiver je me suis retrouvé avec un putain de stock de flotteurs qu'il fallait vendre. Je chargeais mon van et j'allais faire le tour des magasins et des plages pour les fourguer. Je revenais souvent sur le spot où nous avions fait l'amour pour la première fois. La plage des culs nus et des funboarders. Elle est resté comme telle encore aujourd'hui. Sauf que les planchistes ont troqué leur windsurfs pour les kites, mais il y a toujours autant de beau culs et chattes à mater.

Il y a quelques années, j'en ai parlé à mon pote Stache qui venait faire des matches de foot comme réalisateur. Entre temps, l'endroit s'est vu équipée d'un bon restaurant, alors un samedi d'été avant d'aller au stade, il a insisté et nous nous sommes pointé à midi pour manger des sèches grillés à la plancha et se vautrer après au soleil. J'étais déjà venu à plusieurs reprises dans la semaine et j'ai remarqué une blonde posée toujours au même endroit. Quand j'étais le premier arrivé, elle installait son parasol rouge bien à ma vue et me regardait souvent avec insistance. Elle venait avec sa mère, je suppose, et ses deux petites gamines. Une belle femme avec une crinière de lionne, un grand corps bronzé, les seins d'une belle taille bien hauts et fermes. Les poils de sa chatte étaient rares et blonds dorées. Mais je n'arrivais jamais à la voir en entier . Quand elle allait se baigner, elle mettait toujours son string et quand elle se tournait, elle évitait d'écarter ses jambes. Un jour, en sortant de l'eau elle s'est assis pour enlever son maillot puis se tourner sur le dos et sans faire gaffe, elle les écarta suffisamment pour que je puisse apercevoir un petit anneau fiché dans sons sexe.

On était donc vautré là avec mon pote Stache, après avoir bien mangé et j'étais en train de la lui faire remarquer en fumant une clope. Tout d'un coup la femme se leva, enfila son string et se pointa droit devant nous une cigarette à la main:

''Je vous ai vu fumer alors je sais que vous avez du feu''me lança-t-elle avec un large sourire. Je lui tendis mon Zippo et elle alluma sa clope.

''J'aime bien le tattoo que vous avez dans le dos'' fit-elle en me rendant mon briquet.

Alors, en la fixant bien dans les yeux, je lui répondis:

''Moi j'adore votre petit anneau, je trouve ça très mignon''

''Comment le savez-vous ?'' rétorqua-t-elle, étonnée...

''Oh'',fis-je, ''je suis très observateur...c'est mon boulot, après tout .''

''Et c'est quoi, votre boulot?'' me demanda-t-elle en tirant sur sa clope.

''Ca serait trop long à expliquer, mais si vous le voulez bien, je peux tout vous raconter autour d'un bon verre. C'est quand vous voulez, sauf ce soir...

on travaille, mon ami et moi.''

''Je note'' répondit-elle et retourna s'allonger sous son parasol.

''Je crois que t'a raté ton coup'' me lança Stache, ''t'as été un peu glacial.''

L'après-midi tourna à sa fin et la belle blonde ne bougea plus. Nous avons piqué un petit somme. Puis elle rassembla ses affaires, habilla les deux gamines, embarqua la mère, la glacière et le parasol et s'en alla. Je lui fis un signe de la main en guise d'au revoir et elle disparut derrière la dune.

Puis, cinq minutes après la voilà qui se repointe.

''J'ai réfléchi à votre proposition de tout à l'heure et, finalement je suis d'accord pour un verre ou un diner. Appelez-moi demain, je ne viendrais pas à la plage, le dimanche s'est trop bondé.'' Puis elle me tendit un bout de carton arraché de son paquet de cigarettes avec le numéro de son portable et s'en alla définitivement.

''Tu vois'' fis-je à Stache en lui tapant dans la main,''Il ne faut jamais désespérer.

Le lendemain en fin d'après-midi je lui ai passé un coup de fil et nous fixâmes un RDV à 20:30h devant chez elle. Je ne voulais pas lui faire le coup de la moto, alors je me suis pointé avec ma vieille Volvo. A 20:45h elle se présenta devant la porte de l'immeuble habillé d'un jean blanc et d'un petit t-shirt blanc à fines brettelles. Superbe, sur une peau bien dorée. Je sortis de ma voiture pour lui faire signe car elle ne m'a pas capté.

Elle s'approcha, l'air déçu:''Tu n'es pas venu en moto?'' me tutoie-t-elle...

''Eh bien, non...je pensais qu'il était préférable que je viens en voiture. Comment sais-tu que j'ai une moto?''

''J'ai aussi un sens de l'observation, même si c'est pas mon métier'' me répondit-elle en rigolant...''Mais je suis très déçue, je me suis habillé exprès pour!''

''La prochaine fois, je te promets, je t'amènerais faire un tour '' fis-je en l'invitant à s'assoir dans la voiture.

Nous sommes allé manger dans un restaurant panoramique en haut d'une tour et qui tournait lentement sur son axe découvrant ainsi tout le paysage de la côte. Le service fit long, mais la bouffe a été bonne. Ca nous a pas vraiment dérangé, on avait plein de choses à nous raconter pour nous découvrir mutuellement.

Brigitte appréciait le bon vin à table et nous avions bu une bouteille. Surtout elle. Moi, je ne bois que très peu et en plus, je conduisais. En partant, elle me proposa de nous arrêter sur la route dans une boite de nuit à la mode. Elle voulait danser. C'est tout ce que je déteste...''les boites de laids qu'ont dansé'' !!! Mais j'ai dit oui, même si je ne danse pas et tout en sachant, que j'allais me faire chier dans la foule en sueur et la musique de merde. Mais je voulais lui faire plaisir, alors...

La boite était évidemment bondée avec une queue à l'entrée, mais elle connaissait bien les videurs et nous sommes entrés les doigts dans le nez. Visiblement, elle était habitué des lieux. Nous avons dansé et elle continua à picoler et devenait chaude à point. Moi aussi...Puis elle m'attrapa la main et me traina dehors. Là, elle me sauta dessus telle une furie. Nous avons commencé à nous embrasser et à nous tripoter sur le parking, quasi devant la foule. Je n'aime pas trop de me donner en spectacle même si une fois j'ai baisé une fille sur le capot de ma voiture à la sortie d'une boite de nuit. Elle s'appelait Sandra et était serveuse dans un restaurant où j'allais souvent. Mais nous étions seules et défoncés à l'Exta. J'ai donc entrainé Brigitte à l'intérieur spacieux de la Volvo, elle fit exploser les boutons de mon 501, se saisit de mon sexe qu'elle commença à tripoter doucement de ses doigts avec leurs longues ongles roses, puis elle l'attrapa à plein main et le fourra dans sa bouche. Je ne sais si c'était l'ambiance, la situation, les quelques verres d'alcool consommé ou son savoir faire, mais j'étais dans une excitation extrême et je suis venu très rapidement. Elle n'a pas branché, puis me demanda d'aller chez moi. Elle voulait que je la baise et chez elle, ce n'était pas possible. Il y avait sa mère avec ses enfants. Son anneau dans la lèvre, juste en dessous du clitoris me mettait dans tous mes états. Je tirais dessus et ça l'excitait énormément. Elle demanda que je le fasse tout en la suçotant. Ca la rendait dingue...

A l'époque, je me trouvais sans une relation régulière et je recherchais ce genre de coups. J'avais aussi quelques rapports tarifées en réserve au cas où.

Vaina en faisait partie. Professionnelle du massage sexuel et plus si affinités. Une métisse des iles d'une quarantaine d'années à la peau douce et ambrée, sentant la vanille et la noix de coco. Magnifique chevelure noire et des gros seins farcies au silicone, mais très bien fait. Ca se sentait à peine au toucher.

J'avais trouvé son annonce dans le journal local:''Vaina, la douceur des tropiques'' et je gardais son numéro sous le coude. Ce soir-là, en rentrant de la plage excité à la vue de toutes ces chattes, j'avais envie de me faire tripoter la couenne. J'ai appelé le numéro. Elle était libre et acceptait les cartes de crédits. J'ai enfourché la moto, c'était à cinq minutes de chez moi. J'ai trouvé l'endroit assez facilement, une grande maison grise au coin d'une rue avec un petit jardin devant et quelques marches. Elle paraissait abandonnée avec tous ses volets fermés. J'ai sonné, fait coucou à la caméra et le bruit d'un buzz m'a ouvert le portillon. Vaina m'accueillit enroulée dans un paréo imprimé de fleurs aux couleurs vives du style hawaiien. Dans la petite entrée éclairé par des bougies elle m'énuméra le tarif des services et me demanda ma carte Visa. J'ai pris la totale. Alors elle me conduisit à la salle de bain et me déshabilla doucement tout en effleurant mes parties génitales. Elle me doucha en m'enduisit d'huiles aux senteurs exotiques. Je bandais grave. La salle de ''travail'' se trouvait juste à coté. Un confortable matelas à même le sol, des bougies odorantes et musique douce dans cet univers velouté et tamisé. Elle me coucha sur le dos et tomba son paréo à fleurs. Whaou...un bombe au napalm. Elle se pencha sur moi et commença à me masser doucement, d'abord les épaules, la poitrine et le ventre, puis elle m'attrapa les pieds et remonta par les petites pressions le long des jambes jusqu'au sexe. Elle le massa doucement de haut en bas en s'attardant un peu sur le gland.

Devinant que je n'étais pas loin d'exploser, elle me retourna sur le ventre et recommença par les épaules et le dos, puis les pieds et les mollets remontant jusqu'aux fesses. Elle me les malaxa vigoureusement en les écartant et ajoutant un peu d'huile dans la raie. Puis elle m'attrapa les cochones, les pressa tout en me fourrant un doigt dans l'anus. Ca m'a surpris à tel point que j'ai lâché un petit cris, mais ce n'était pas désagréable finalement. Surtout, qu'en faisant cela, elle me remonta un peu le bassin et saisit à nouveau mon membre gonflé par le désir. Tout en le tenant par une main, elle tourna doucement autour de la base du gland avec les doigts de l'autre. C'était simplement délicieux. Elle me retourna à nouveau sur le dos et commença à me masser avec ses seins gros et durs. Elle se mit à califourchon sur moi et m'administra une bonne cravate espagnole tout en donnant un petit coup de langue sur le bout du gland à chaque passage. Je grognais de plaisir. Puis elle se retourna et me mit son sexe sur ma bouche tout en me masturbant. Je la léchais comme un petit chien en explorant les moindres recoins de son anatomie intime. Sa chatte sentais bon et son suc avait un bon gout. Alors, elle aussi commença à gémir. Elle enfila une capote sur ma verge, me suça puis s'assit dessus. Mon sexe se sentit soulagé en la pénétrant. Elle m'ordonna de la prendre dans toutes les positions tout en prenant son pied. Sentant que j'allais venir, elle me jeta à nouveau sur le dos, retira la capote et me fit venir en une explosion finale. Et quelle explosion! Je ne savais même pas que j'étais capable de lâcher autant de sperme en longs jets multiples. Mon corps secoué par des spasmes comme sous électrochocs s'est affalé telle une méduse molle. J'en ai eu largement pour mon argent. Je suis retourné dans la salle de bain, seul ce coup-ci puis une fois douché et habillé, Vaina m'accompagna poliment à la porte en me disant que j'étais le bienvenu quand je le désirais. Cette femme savait donner du plaisir. Je suis resté plus d'une heure en tout pendant laquelle elle m'a transformé en chamallow. Je me sentais bien, si bien...

Je l'ai revu à plusieurs reprises et nous avons fini par être relativement proches. Elle venait parfois même me chouchouter chez moi une nuit entière. Moyennant finances bien entendu. Un jour dans un rayon de supermarché où j'effectuais les courses avec ma nouvelle copine, je suis tombé sur elle accompagnée d'une jeune fille. Elle détourna son regard. Il m'arrive encore aujourd'hui de passer devant cette maison toujours aux volets fermés et je me demande si elle exerce encore dedans.

D'autres de mes expériences du même genre ne s'étaient pas toujours passé aussi bien. Je me souviens qu'en trainant du coté de la gare dans une boite de nuit rock, je passait souvent devant l'hôtel de Paris qui n'existe plus aujourd'hui. Et tous les vendredis et samedis soirs il y avait devant tanquée, une jolie blonde qui faisait le tapin. Elle m'interpelait à chaque de mes passages. Un soir je me suis arrêté et commençais à discuter le bout de gras. Puis, nous sommes rentré dans le vestibule, j'ai filé la taxe au veilleur de nuit et nous sommes monté dans une chambre. La fille était vraiment bien, très sophistiqué en petit tailleur gris et talons aiguilles, tiré à quatre épingles. Elle ne faisait pas pute pour un rond. Elle se mit rapidement en dessous très chics avec le porte jarretelles et tout le toutim en dentelles puis me dessapa et me lava le sexe au lavabo. Nous nous sommes installé sur le lit, mais je n'avais aucune envie de la baiser. Pourtant, elle faisait tout ce quelle pouvait et s'appliquait de tous ce qu'elle savait. C'était bon et finalement, j'ai pris mon pied. Un petit...

J'ai fais monter une bouteille de champagne et nous avons discuté un peu en buvant. En fait, cette fille, Anne-Marie, n'était pas du tout une pro, mais une occasionnelle qui se faisait chier à la maison. Marié, elle habitait à une soixantaine de kilomètres dans une ville voisine et venait le vendredis ou les samedis quand son mec était en déplacement à un endroit où personne ne risquait de la reconnaître. Il était souvent absent et de toutes façons, ne la baisait plus. La pauv'fille faisait donc du tapin à son insu et avec le blé gagné s'achetait des fringues. De temps à autre elle prenait son pied avec un inconnu qui lui plaisait tout en refusant catégoriquement les autres. Je l'ai revu encore une ou deux fois, puis elle a disparu de la circulation.

Mais le pire n'est pas là.

Le pire m'est arrivé une nuit d'hiver ou je trainais au coin d'un boulevard à la recherche d'un taxi qui ne venait pas. J'attendais en fumant une clope, j'avais froid et envie de rentrer chez moi. Là, une voiture de sport blanche est passé et a ralenti devant moi. Une Matra Bagheera à trois sièges de front. J'avais plus remarqué la voiture plutôt rare, que la fille qui la conduisait. Puis elle s'est barré. Cinq minutes plus tard j'étais toujours là à attendre et la bagnole est repassé au ralenti et s'est rebarré. Cinq minutes plus tard le même cirque, puis la nana s'est arrêté en me faisant signe de venir à la portière. Elle était plutôt jolie et me demanda ce que je foutais là. Je lui ai expliqué que je cherchais un taxi pour rentrer chez moi et c'est alors qu'elle me dit de bien vouloir m'amener.

Je suis monté et alors, elle me sortit un gros buzz qu'elle m'a demandé d'allumer. J'ai tiré trois taffes et le lui rendis. Puis elle me fit une proposition:

'' Si t'es pas trop pressé, on peut passer par chez moi, je t'invite à boire un coup.''

J'ai eu du mal à refuser, surtout que, en la regardant de près, elle était vraiment jolie. Nous voilà partis à sillonner les rues la nuit et tirer sur le pétard. Puis elle s'arrêta brusquement devant un immeuble et me demanda si ca me bottait de faire une partie à trois. Putain, et comment! Le pétard avait déjà fait son effet et j'étais chaud comme la braise. Tout d'un coup je me sentais bien en forme pour baiser un bataillon de gonzesses. Alors, elle m'a dit de l'attendre dans la voiture le temps qu'elle aille chercher sa copine puis disparut dans l'immeuble. Je pouvais encore me sauver, mais j'étais trop curieux de voir ce qui allait se passer. La pluie a redoublé. Puis elle rappliqua avec sa pote, se remit au volant et moi au milieu pour laisser la place à l'autre. Et quelle autre.! Une meuf d'au moins cent kilos. Là, j'étais coincé sur le siège central entre les deux nanas et plus moyen de me tirer. Puis elle me demanda si j'avais un peu de thunes, car ce n'était pas gratuit, mais qu'elles allaient me faire des trucs que je n'allais pas regretter, des choses que je ne pouvais même pas imaginer avant. Et pour cause...Je n'ai jamais pu imaginer de faire l'amour à une femelle diplodocus épaisse et cuissue. Même pas en rêve...J'étais coincé là comme un con pendant qu'elle entra dans un parking souterrain et s'arrêta devant une porte de garage. J'essayais de repérer une sortie pour me barrer, une issue de secours ou équivalent, mais pas moyen. Aucune issue...

Elle bascula la porte pendant que la diplo m'empêchait de sortir de la voiture, puis elles m'ont poussé à l'intérieur et la porte se referma sur mon sort. Je découvris un vrai lupanar. Le box était aménagé avec un grand lit au milieu, deux fauteuils et des petits lampadaires partout. Un frigo, un lavabo et une télé. La blonde l'alluma et poussa une K7 dans le scope. La grosse brune me poussa sur le lit et commença à m'arracher mes vêtements. Puis elle se fout à poil à son tour. Voilà la masse et les bourrelets. Chacun de ses nichons devait peser au moins trois kilos. Sur l'écran je voyais une fille qui se masturbait en gros plan. J'adorais regarder les filles dans cet exercice et j'ai remarqué que la plupart de clitoridiennes le faisaient en tournant avec leur majeur autour de leur bouton d'amour dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. La vue d'un clitoris dénudé en érection et gros plan caressé par une beauté aux seins volumineux me procurait une jouissance quasi instantané. J'aimais assoir la fille sur ma poitrine son sexe face à ma bouche. Puis je luis demandais d'écarter les lèvres de sa chatte et faire sortir son clito. Puis je me mettais à le suçoter tout en me masturbant. En général, la fille n'en pouvant plus, prenait le relais, puis se retournait et on finissait tout les deux dans un soixante neuf explosif.

La blonde se dessapa à son tour en gardant juste ses bas résilles et son porte jarretelles rouge. La grosse attrapa ma queue et la mit dans sa bouche pendant que la blonde me monta dessus mettant sa chatte sur mon visage tout en lui écartant ses lèvres. J'aimais ça...

''Vas y, mange-moi, gros dégueulasse'' s'écria-t-elle en m'attrapant par les cheveux. Une fois bien dur, la grosse s'empala sur mon sexe. Je croyais que j'allais mourir écrasé par cette centaine de kilos et étouffé par une chatte dégoulinante. J'avais qu'une hantise, c'est qu'elles échangent leur place. C'était la mort assuré. Puis la blonde se retourna en me présentant sa croupe et commença à rouler des pelles à sa copine tout en restant bien assise sur mon visage. Je dois avouer que je commençais à prendre mon pied. La grosse aussi, car elle se mit à gémir. Sur l'écran une nana faisait des trucs avec un chien. Dégueulasse. Puis la grosse se retira, cracha dans ses mains et se mit à me masturber furieusement. Le blonde se joignit à elle. Je commençais à la trouver franchement canon car elle suçait super bien. Puis elle se mit à quatre pattes et m'ordonna de la prendre comme la chienne à l'écran. La grosse frappa soudainement mon cul en m'attrapant les testicules qu'elle serra bien fort:

''Tu vas pas envoyer maintenant, gros porc !!!'' se mit elle à brailler.

C'était trop tard, j'ai déjà tout mis dans sa copine. Sans préservatif,bien entendu, car en ces temps-là on n'était pas trop regardant.

Je continuais à m'agiter de peur que si elle s'en apercevait, elle me les arracherait. Le pire, c'est que je débandais même pas. Puis la grosse me lâcha et alla trifouiller dans un coin et rappliqua un brandissant un gode ceinture. La blonde prenait son pied en hurlant. La grosse se mit à m'assommer avec ses nichons, puis m'attrapa et me dégagea parterre. La blonde enfila le gode et le fourra dans le sexe poilu et noir comme un essaim grouillant de frelons de sa copine et se mit à la besogner. Puis elle m'attira vers elle et m'ordonna à me mettre au dessus de sa pote qui s'est mis à me lécher mon anus et mordiller mes testicules pendant que la blonde commença à me sucer le gland tout en continuant à travailler l'autre. Elle tournait sa langue si bien autour que j'ai senti soudainement mes couilles se rétracter et tout en matant l'écran sur lequel ça envoyait de partout, j'ai lâché ma deuxième fournée dans la bouche de la belle blondinette. Ouf...Elle me dégagea,se pencha sur la grosse brune et lui cracha mon sperme dans sa bouche. Puis elle se misent à se lécher partout et à gémir comme des grosses salopes qu'elles étaient. Elles se bouffaient mutuellement les chattes en se fourrant les doigts dedans et m'ont complètement oublié tellement elles étaient concentrés sur leur propre extase. J'ai ramassé doucement mes affaires, remis mon slip, jean et baskets, fait basculer la porte et je me suis sauvé en courant. Elles n'ont même pas essayé de me rattraper. Au fond du parking, j'ai aperçu une lueur verte qui me conduisit à la sortie dans le hall de l'immeuble. Là, j'ai enfilé le reste de mes vêtements et je suis sorti en haletant dans la rue. J'ai trouvé mon portefeuille car j'avais tout de même un taxi à prendre. Il était vide. Une de ces salopes a profité d'un moment de mon inattention pour me taxer mon blé. Bah, il n'y avait pas grand chose, tout juste de quoi payer. Ce qui m'a fait finalement le plus chier dans cette affaire, c'est d'avoir été obligé rentrer à pied...

J'aimais temps à autre d'avoir des relations sans lendemain quitte à les payer. Mais parfois, il y avait aussi des pièges et il ne fallait pas tomber dedans. Ainsi une nuit d'octobre, fraichement débarqué à Guatemala City avec un compère, nous arrivâmes à la porte de la Posada Belen située dans le centre historique. Un endroit vraiment très sympathique tenu par deux compères très drôles. Il nous ont accueilli à bras ouverts et à renforts de bouteilles de bière quand ils ont su, que c'était mon anniversaire. Après un vol de 16 heures passant par Miami, fatigue aidante, j'étais cuit assez vite. Deux bières ont suffi. Il fallait que j'avale un truc d'urgence, alors je suis sorti errer à pied dans les rues d'une ville que je ne connaissait pas, réputé une des plus dangereuses au monde à la recherche d'un ''comedore''. J'ai trouvé assez rapidement ce qu'il me convenait en passant d'abord dans une machine ATM pour retirer de l'argent. Il faisait nuit noire et les voitures ne s'arrêtaient plus aux feux rouges. Bonjour la pagaille. Les rues grouillaient de monde, avec moi au milieu, bourré à moitié, armé d'un couteau et d'un espagnol très approximatif. Mais j'ai assuré et suis revenu à l'hôtel après avoir avalé un caldo de pollo, du riz et les ''frijoles'' (haricots noirs) dans un petit ''antojito'' ou j'ai fait sensation avec ma gueule de gringo crevé et mal rasé. Les compères et mon pote étaient chauds comme des braises. Ils n'avaient pas mangé, eux...par contre ont continué à la Gallo et ont sortis la coke. La posada était vide, nous étions les seuls clients. Vers minuit il y un des gars qui me dit, qu'ils m'ont préparé une petite surprise pour mon anniversaire, alors fallait me tenir prêt. Ils étaient tous morts de rire. La sonnette de la double porte d'entrée se mit à grésiller et ils me poussèrent dans ma chambre. Quelques minutes plus tard on frappa à la porte. Deux filles cannons entrent. La première, d'une quarantaine d'années et l'autre la moitié moins. La plus âgée, brune, très typé latino aux seins lourds me demanda dans un espanglais ce que je voulais. Elle, sa copine ou les deux à la fois ? Pour combien de temps ? Une heure ou deux ou toute la nuit? J'en était sur le cul. Je ne savais même pas si j'étais capable d'assurer une partie de jambes en l'air, alors, finalement, j'ai choisi la plus jeune et la plus jolie des deux pour une paire d'heures. La brune s'en alla en encaissant cinquante dollars. La petite qu'est resté avec moi s'est assis sur le lit et je lui ai demandé ce qu'elle voulait boire. Elle était super timide et j'ai vu de suite que ce n'était pas une pro du tapin. J'en était très ému. Elle s'appelait Lucia. Santa Lucia... et, si elle n'était pas pute, même occasionnelle, elle serait certainement une sainte ou une madone. Je me sentais un peu dans la merde. Un des deux lascards nous a glissé une bouteille de champagne bon marché et deux coupes et j'en ai tendu une à la belle Lucia pour la détendre. Je me suis foutu en boxer et j'ai commencé gentiment à la déshabiller. Elle se laissa faire. Cette fille avait tout ce qu'il fallait pour me mettre le feu. Les latina à la peau mat ont toujours étaient mon point faible. J'adore ce genre de filles du style Salma Hayek, Michelle Rodriguez ou Eva Mendés. D'ailleurs, elle lui ressemblait un peu, mais en plus fin. Même mort, elle m'aurait ressuscité. Ce qu'elle fut. Une fois à poil, elle était encore plus bandante. Elle attaqua par une fellation maladroite et puis commença à y prendre goût. Je lui ai mangé le minou tout en l'arrosant au champagne. Une fois nos ébats terminés, il restait encore du temps au compteur. J'ai resservi deux coupes, l'ai pris dans mes bras et essayais d'entamer une causette avec mon espagnol de base. On se caressait mutuellement. Je n'avais plus aucune envie qu'elle s'en aille. Nous avons refait l'amour et finalement, elle est resté dormir dans mes bras...Le matin tôt, je lui ai appelé un taxi pour qu'elle puisse aller a son vrai travail. Lucia avait 24 ans, vivait seule avec sa petite fille de 4 ans et n'avais pas le droit de me laisser son numéro personnel sans danger de représailles. Elle bossait comme caissière dans une station de supermarché situé pas très loin et étant très mal payé, elle faisait le tapin en supplément. Protégé, quand même....Une fois partie, je me suis senti très con. Ce matin là nous prenions la route, mon pote et moi, pour nous rendre chez les indiens sur le lac Isabal. 6 heures de bus et ses cassettes vidéo avec les films de guerre russes puis deux heures de lancha. J'ai promis à Lucia de la retrouver dès mon retour à la posada en croyant que ça allait être facile. Pendant les quinze jours de voyage je pensais à elle sans cesse. J'en étais tombé amoureux. Une fois de retour, j'ai chargé les gars de l'hôtel de la trouver. Ils ont réussi appeler la mère maquerelle, mais elle a répondu que Lucia était malade et pas disponible. Pendant les deux jours que je suis resté à la posada, j'ai mis tout mon énergie à essayer de la retrouver. En vain. Nous avons réussi à trouver le supermarché où elle était censé de travailler, mais on nous a répondu qu'elle a été licencié. Je n'avais plus le temps, il m'était impossible de rester plus longtemps. Je pense, que tout a été fait pour que je ne la retrouve plus jamais. Une fois rentré chez moi j'ai continué désespérément a appeler à la posada, d'envoyer des fax. Je voulais la faire venir chez moi avec sa fille et lui offrir une vie meilleure. Un effort qui a duré deux mois pour rien. Je n'ai jamais revu la Santa Lucia et ne l'ai jamais oublié. Une nuit, une vie...

Il m'est arrivé des aventures du même genre, mais je ne suis plus retombé dedans. Je suis parti à Hong Kong avec un collègue pour rejoindre une équipe italienne qui filmait les courses offshore des powerboats. Des vrais monstres de la mer. Il y avait un grand prix qui se déroulait dans la baie. Nous avions prix un vol direct de Paris puis un taxi nous amena à l'hôtel. Arrivés à 17 heures à la réception, nous avons pris nos clés respectives et nous nous dirigeâmes vers l'ascenseur tout en se donnant un rendez-vous à 19 heures pour aller manger un canard laqué à Kowloon. Au moment de rentrer dans l'ascenseur, deux filles asiatiques se précipitèrent pour entrer derrière nous deux. Je ne les avait pas remarqué. Arrivés à l'étage, ma chambre se trouvait juste en face et celle de mon collègue au bout du couloir, on s'est dit à tout à l'heure. J'ai ouvert la porte en le regardant de s'éloigner et j'ai vu une des filles qui le suivait. L'autre s'est faufilé dans ma chambre et s'est assis sur le lit kingsize en gloussant. Une situation pour le moins surprenante et embarrassante. La fille, qu'avait dans les 25 ans(c'est difficile de déterminer l'âge exact d'un asiatique), c'est mis à faire les présentations en

anglais en me souhaitant la bienvenue. Elle était très jolie, style gamine, habillé sexy dans une mini raz des fesses et était là pour me détendre après mon fatiguant voyage en avion. Je n'ai jamais vécu une situation semblable. Une attention de l'hôtel pour ses arrivants internationaux? Pas du tout, m'expliqua-t-elle, une action tout à fait personnelle. Elles et sa copine nous ont vu arriver dans le vestibule et nous ont délibérément choisi. Des putes alors? J'ai demandé le tarif et elle m'expliqua que c'était gratuit et juste pour le fun. J'en perdais mon latin...

Elle commença à me déshabiller puis se foutu à poil à son tour. Petits seins mais un très beau cul. Puis elle m'entraina dans la salle de bain et me lava de partout avec soin. Je ne détestais pas quand on s'occupait de moi ainsi. C'était très agréable. Nous avons déménagé sur le lit et elle m'administra un massage intégral très excitant. J'avais qu'une idée dans la tête, c'était de m'occuper rapidement de son cul qui m'obsédait.

N'étant pas contre, je l'ai pris d'abord par derrière et j'ai fini par devant. Elle poussait des petits cris. Une fois nôtre affaire terminé, nous sommes descendu dans le vestibule et nous nous installâmes au bar. Il était presque dix neuf heures. Mon collègue est descendu à son tour avec sa chinoise à lui. Elles ont beaucoup ricané et nous avons évoqué les deux heures passés dans nos chambres respectives. Lui non plus n'en revenait pas. Nous sommes parti à Kowloon en traversant la baie en bateau. Tout était plus facile accompagné par deux beautés locales. Sauf qu'au restaurant, j'ai brillé en commandant quatre canards laqués au lieu de quatre ''portions'' de canard laqué. Voilà la rigolade quand le serveur les présenta devant nous. Quatre magnifiques canards et deux petites poulettes. Tel était nôtre menu pour le soir.

Celma, elle, était brésilienne. Une plante d'un mètre quatre vingt, brune aux yeux émeraude, une couleur incroyable contrastant avec sa peau mat. Elle travaillait pour la télévision et suivait l'équipe masculine et féminine de foot pendant les jeux olympiques de Pékin. C'est là que je l'ai rencontré. Je faisais une des caméras installés au bord du terrain et à la mi-temps du match Argentine-Brésil elle se pointa à coté pour faire une interview de Dunga car l'équipe brésilienne était en difficulté. Je l'ai tout de suite remarqué et lui ai fait un grand sourire à la Jean Dujardin. Elle me le rendit. Une fois le match perdu par les brésiliens 3:0, elle se repointa avec Ronaldinho cette fois. Il m'a reconnu car j'ai fait quelques matches au PSG lorsqu'il y jouait et il est venu me serrer la main. Celma a été scié. Du coup, elle est venu me parler. Le lendemain nous avions un jour off au foot, alors je lui ai proposé de m'accompagner visiter la Grande Muraille et faire un peu de tourisme. Elle accepta. Ce jour, il a fait un temps exécrable. Brouillard, flotte et froid pour un mois d'aout. Du coup, nous n'avons pas trainé toute la journée dehors. J'étais logé dans un petit studio du village olympique et je l'ai invité à venir boire un coup. Nous avons discuté de nos emplois respectifs, de nos vies, de tout et de rien...Elle vivait en célibataire avec sa fille de 18 ans et en avait 36. Les brésiliennes font des enfants très tôt. Bla, bla, glou, glou puis kiss, kiss...C'est allé assez vite. Nous avions envie l'un de l'autre. Elle n'a pas failli à la réputations des brésiliennes. Chaude de chez chaud. Grosse éclate au pieu. Le soir un petit resto en amoureux et le lendemain direction Shangai pour la finale du foot féminin Brésil-Usa. Nous prenions le même avion et ne nous quittions plus jusqu'à la fin. Nous avons continué nous écrire par e-mails et début novembre j'ai décidé de la rejoindre au Brésil. Je me suis fait d'abord un trip de deux jours à Rio que je connaissais déjà. J'avais du monde à voir et revoir Rio fait toujours du bien. Sauf, que le soleil n'était pas au rendez-vous, alors au bout de deux jours j'ai pris un vol pour Brasilia. Celma m'attendait en compagnie de sa soeur ainée. Une belle femme, elle aussi. J'ai récupéré une voiture de location chez Avis et nous voilà parti dans la famille. Ils habitaient tous dans une grande maison de la banlieue interminable de cette ville incroyable. Il n'y avaient que des femmes. J'ai été très bien reçu par elles et nous sommes resté 2 jours à visiter le futuroscope brésilien. Puis elle m'invita chez son frère dans une fazenda du Mato Grosso. Nous sommes d'abord allé à Porangatu en passant par Anapolis. Elle m'a fait découvrir une petite télé locale ou elle a commencé à travailler puis nous nous sommes rendu chez sa grande mère. Une vieille dame d'une douceur et gentillesse incroyable. Porangatu est une petite bourgade extrêmement pauvre où il n'y a pas grand chose à voir ni à faire et il y faisait une chaleur insupportable. Nous sommes allé au lac pour nous baigner et boire un coup avec un de ces vieux copains. Le soir une de ses amies nous a invité à diner chez elle et nous a fait une petite fête. Le lendemain nous avons pris la direction de Cuiaba puis Diamantino, une vieille ville des chercheurs d'or et des diamants aujourd'hui reconvertie dans la vanille et l'élevage. Les paysages parcourus depuis Brasilia ont été d'une beauté extraordinaire. Les montagnes, les forets de hévéa, des vallées et des lacs. Et les sinterras habitants dans des cabanes de fortune aux bords des routes. Les fermes et élevages d'autruches. Des chevaux et des bovins dans les prairies qui se perdent à l'horizon. La fazenda Lagoa JP se trouvait au milieu de nulle part avec aucune âme qui vive des kilomètres à la ronde. Un endroit magnifique qui pouvait sortir tout droit d'un film d'aventures ou plutôt d'un western. Les cowboys dit les boiadeiros occupaient les lieu et son frère en était un, malgré son statut de propriétaire et boss. Ils partaient rassembler du bétail pour le marquer et nous ont amené avec eux. La dernière fois que j'ai monté un cheval se rapportait à mon enfance chez mes grands parents. C'était une vraie mission rien que pour grimper dessus. Mais j'y suis arrivé et j'ai bien aimé cette ambiance. La nuit nous dormions à la belle étoile après avoir fait griller des énormes morceaux de boeuf au barbecue et chanté des chansons bien arrosées à la Brahma. Nous sommes resté une semaine dans cette nature sauvage puis je me suis retapé plus de mille kilomètres pour retourner à Brasilia. Celma n'aimait pas conduire, mais aimait le sexe. Nous faisions régulièrement des haltes pour nous embrasser, nous tripoter, nous suçoter et tirer un coup. Dans le 4x4 ou dans la nature verdoyante absente de toute civilisation. Le Brésil est un pays immense, peu peuplé pour sa superficie et pourvu d'un réseau routier important, mais dangereux car très mal entretenu. Défoncé par les camions et les pluies torrentielles. Souvent barré par des postes de contrôle de police ou des ralentisseurs ''lombadas'' posés en plein milieu de l'autoroute et mal signalés. J'étais assez content de rendre la voiture en bon état. Nous avons pris l'avion pour Récife puis un taxi nous amena à Porto de Galinhas. Un ancien village de pécheurs converti au tourisme où toutes les insignes étaient à l'effigie des poules stylisées et colorées. La Pousada Luar de Mar ou nous avons réservé était aussi entièrement décoré ainsi et dédié au culte de la poule. Un endroit très clean, bien tenu et très sympathique donnant directement sur la plage une fois traversé un jardin exotique avec une piscine. Sur la plage nous étions quasiment en face de ce que les brésiliens appellent ''piscinas naturais'' un phénomène corallien. Des grands trous remplis d'une eau cristalline et grouillants de poissons multicolores à marée basse. On pouvait s'y rendre en nageant ou sur des espèces de grandes planches ou radeaux à voiles nommés ''jangadas'' à louer à l'heure ou à la journée. Nous sommes resté quelques jours dans cet endroit de rêve à lézarder au soleil, nager dans une eau chaude et limpide, manger dans des bons restaurants et faire l'amour. J'ai loué un buggy pour visiter d'autres spots aux alentours. J'ai surfé des journées de bon swell. Nous avons repris l'avion pour aller à Salvador de Bahia, une ville magnifique. Nôtre hôtel se trouvait sur la plage de Barra juste à côté du grand phare et son musée nautique. En longeant la cote nous nous rendîmes jusqu'au centre historique en prenant le Lacerda, l'ascenseur qui a son sommet fait découvrir le superbe panorama sur la baie de tous les Saints. Puis les petites rues pavées avec leurs bâtisses et églises multicolores...

Dans mes aventures amoureuses diverses il m'est arrivé quelque fois des trucs assez fun. J'avais travaillé pour un grand chef américain qui était propriétaire d'un restaurant gastronomique à Birmingham dans le Michigan qui s'appelle ''Forté'' et où se donnait rendez-vous tous les vip de la région. Il s'appelait Keith et était très drôle. Un grand brun d'origine italienne, sportif et body-buildé, il présentait une émission à la TV américaine spécialisé dans la cuisine méditerranéenne. Il a entendu parler des frères Pourcel et a décidé de venir tourner les plateaux de présentation pour une année d'émissions dans la région. Il m'avait donné rencart au Jardin des Sens ou il était logé avec sa maitresse, Kandi, productrice de l'émission et, surtout, d'Oprah Winfrey Show. Nous avions cinq jours et devions tourner trois plateaux par jour en moyenne. Les thèmes était divers comme le vin par exemple, les huitres de Bouzigues, les amandiers, les fruits et légumes du sud, les herbes, le riz de Camargue etc. A chaque fois nous nous rendîmes sur le site où il faisait une présentation des produits, les goutait et donnait des idées quoi faire avec et comment les utiliser. Par exemple, nous sommes allé interviewer les ostreiculteurs, montrer la façon dont étaient élevé les

huitres et puis nous nous sommes installé à La Côte Bleue pour manger et présenter un plateau de fruits de mer. Le maître d'hôtel est venu me demander s'il fallait vraiment tout y mettre, même des violets. J'ai posé la question à Keith, mais il ne connaissait pas. Je lui ai donc confirmé de faire un plateau de fruits de mers régional le plus complet possible. Le moment est venu où les chefs toqués ont amené un énorme plateau contenant des crustacés, des coquillages divers et oursins posés sur un lit de glace pilée et décoré d'algues. Et les violets. C'était magnifiquement préparé et arrangé. Keith se posta devant et moi je me mis derrière la caméra. Tour à tour il présenta les bestioles, les montra bien à la caméra et les gouta avec délectation. Vient le moment des violets. Je ne sais pas si vous connaissez ce coquillage, mais il est vraiment très spécial et assez ragoutant d'aspect avec une coquille molle. Il a un gout fortement iodé.

Keith: '' Et voici Mesdames et Messieurs un coquillage ou je ne sais quoi que je ne connais pas et que, j'en suis sur, vous ne connaissez pas non plus. Il est récolté ici, dans le bassin de Thau et les français en raffolent. Je vais le découvrir et le gouter en même temps que vous.''

Il le présenta à la caméra: '' L'aspect est très bizare, on dirait une crotte...''

Il le sentit: '' D'ailleurs, il sent un peu comme une merde...''

Puis il le gouta et le recracha en faisant une grimace: '' Et il en a même le gout...!!!'', et il éclata de rire.

Quand j'ai traduit, les chefs se sont plié à leur tour. En tous cas, j'ai passé une semaine formidable en compagnie de Keith et j'ai super bien mangé et bu que des meilleurs vins de la région.

Quelques temps après, mon téléphone fixe sonna en plein nuit en me réveillant. C'était Kandi qui m'appelait des USA. Elle voulait savoir si j'étais disponible pour tourner un clip à Saint Tropez pour un fameux saxo de Detroit faisant partie d'un des plus fameux rockband américain accompagnant une mégastar de chanteur US. Le sax se lançait dans une carrière solo et décida de venir tourner son clip en France. Deux mois plus tard, en pleine chaleur de juillet, je partais donc avec Yoyo, mon assistant-sondier chargé de matos direction Sait Trop. Le mot ''matos'' comprend tout le nécessaire à un tournage de clip musical, prise de vues, de son et l'éclairage.

Ma Volvo Break en avait le cul parterre. Dans le ''matos'' était aussi compris vingt grammes de paillettes de coke colombienne premier choix. Kandi me l'a demandé discrètement comme un très grand service rendu à la nation américaine et j'ai pu finalement assurer le plan. Non sans galères.

Nous nous présentâmes donc Yoyo et moi à la porte d'une magnifique propriété appartenant à un homme d'affaires français vivant la moitié de l'année en Floride. Composé d'un mas provençal de toute beauté, d'une grande piscine et de dépendances aménagés en habitat d'appoint, le tout caché dans un parc immense. A l'ombre des arbres une Rolls et une Excalibur. J'ai posé ma Volvo à côté sans scrupules et nous fimes les présentations. Kandi était là toute contente de me retrouver. Elle n'arrêta pas de me lancer des fleurs par rapport à la qualité de boulot effectué pour Keith. Son émission faisait un tabac. Le musicien et sa copine étaient extrêmement charmants et gentils. Kandi me chuchota à l'oreille à propos de la coke puis leur fit un clin d'oeil accompagné d'un sourire. Elle me demanda de l'accompagner à l'intérieur du mas. Je lui ai filé le paquet et elle me paya sans brancher. Je suppose que le tarif était bien plus élevé que ce qu'ils payaient d'habitude, mais elle ne contesta pas. Nous nous installâmes avec Yoyo dans une petite dépendance comprenant deux chambres donnant sur la piscine. Très coquet. Nous avons vérifié et préparé le matériel pour le tournage, puis piqué une tête avant d'aller rejoindre les autres pour aller diner au restaurant, se familiariser entre nous et le scénario, concocter un semblant de planning. Nous avons pris la Rolls conduite par un chauffeur, le saxo et sa copine ont suivi dans l'Excalibur. A sa façon de s'agiter et gesticuler j'ai tout de suite compris que la came était bonne.

Le gars était d'origine italienne, lui aussi, alors nous sommes allé diner dans un restau italien. Il était super content de pouvoir bouger sans que les gens le reconnaissent et le fassent chier. Il m'expliqua qui il était, ce qu'il faisait et l'idée du clip qu'il voulait tourner. Tout dans les paysages typiques et les endroits très branchés de Saint Trop. Kandi avait fait tous les repérages auparavant. Nous avons bien mangé, bu du bon vin, bien rigolé, puis il me glissa un petit paquet en guise de remerciements, alors, je suis allé faire un tour aux chiottes. C'est vrai qu'elle était putain bonne, la salope!

Le lendemain on se retrouva tous au petit déjeuner préparé par une bonne embauché pour l'occasion. Il m'a fait écouter sa musique en jouant le sax par dessus, il fallait tout tourner en playback. Un très bon musicien, mais je l'avais déjà entendu sur les disques. J'adorais le chanteur avec qui il jouait et ce groupe typiquement américain, j'étais donc aussi fan de son sax. Il y avait une guitare acoustique dans un coin, alors je l'ai attrapé et nous avons improvisé ensemble. Il en a été soufflé ne sachant pas que moi aussi, j'étais musicien. A midi, nous avions rendez-vous à La Voile Rouge, la fameuse boite sur la plage de Pampelonne rasé par les buldozers en décembre 2011. Mais à cette époque, le resto et sa boite était en plein boum et en plein délire des fêtes interminables. Les yachts ancrés sur la plage, leurs fêtards de milliardaires s'arrosaient à sceaux de champagne. Les filles à poil allongés sur les tables servaient de plats pour fruits de mer et crustacés. Le DJ réveillait les clients bourrés à coup de platines d'une intensité sonore à la limite du supportable. Nous avons donc atterri dans ce lieu de débauche pour mannequins et playboys friqués et j'y ai planté ma caméra. Alto a sorti son alto et le DJ a mis la bande sonore dans la machine. Les filles en bikinis dansaient et moi je filmais. Les garçons faisaient valser les bouteilles et le sax faisait des aller-retour dans les chiottes. J'en ai profité pour en faire un avec lui. Et toutes ces bombasses qui nous tournaient autour. Ambiance. On était chaud comme les braises. Sauf que lui, il avait amené sa nana avec lui et l'avait dans l'os. Moi, je branchais à fond. Après avoir tourné la dernière séquence du sax sur la plage dans le soleil couchant, nous avons continué à table une orgie de homards grillés arrosées au champagne. Ce qui est bien avec la coke, c'est qu'on peut boire jusqu'au bout de la nuit sans être bourré.

Rentré vers quatre heures du mat j'ai décidé de piquer une tête dans la piscine pour me remettre les idées en place. Je suis rentré bredouille, mais avait pris un rencard pour le lendemain avec une beauté. J'en était tout excité, il fallait que je refroidisse le radiateur. Il faisait une nuit noire et pas un bruit. Tout le monde était tombé. Je saute donc à poil dans cette eau à la température parfaite et je tire une longueur. Arrivé à l'autre bout, je me trouve nez à nez avec deux nanas bouteille de bière à la main et pétés de rire. Quelle surprise. Elles ont observé tout mon manège bien planqués dans un coin. Il s'agissait de deux touristes américaines, elles aussi, qui occupaient la maisonnette à côté de la nôtre. Amies de la famille, elle venaient de Floride passer quelques jours dans la maison. Toute la journée à la plage et la nuit à trainer dans les bars et boites de nuit. Kandi a complètement oublié de nous dire qu'elles étaient là avec nous dans la propriété. Les filles étaient à poil elles aussi et bien bourrées. D'une trentaine d'années, elles étaient plutôt jolies et bien foutu, d'après ce que j'ai pu voir dans la nuit avec mes yeux de chat. Et lesbiennes. J'aimais énormément de mater des filles faisant l'amour ensemble. C'est le fantasme absolu de tous les hommes de s'y glisser tout doucement ni vu ni connu, se masturber en les regardant puis de se faire attraper par elles et participer aux ultimes ébats et juissances. Au fait, juste avant que je saute dans la piscine, elles étaient en train de se bouffer les chattes mutuellement dans l'eau. Elle m'ont décapsulé une Heineken et m'ont dit, qu'elles avaient envie de continuer les travaux que j'ai interrompu, si ça ne me dérangeait pas, bien sur. Bain, voyons...pourquoi me dérangerait-elles? Si je pouvais rester, je n'y voyais aucun inconvénient. Alors, j'étais là, débout dans l'eau, une bière à la main en train de mater deux gouines en train de se bouffer mutuellement allongés sur le bord d'une piscine en pleine nuit noire. A peine croyable. Malgré l'alcool ingurgité pendant toute la soirée et l'eau fraiche de la piscine mais, la coke aidant, je bandais comme un malade. Je n'en pouvais plus de les entendre gémir. Une fois leur petite affaire terminé, elle se sont glissé à coté de moi et m'ont attrapé les fesses et la queue en ricanant. Une d'elles m'a roulé une pelle. Puis l'autre. Dans la nuit je ne voyait pas vraiment laquelle. C'était encore plus excitant. Puis elles m'ont soulevé et assis sur le bord les pieds dans l'eau. Et là, elles m'ont administré une double pipe des familles. Je me replissais le gosier par petites rasades de bière fraiche par le haut et me faisait vider les couilles en même temps par deux bombasses atomiques déchainées. Bon dieu que c'était bon et peu importe si elles avaient des gros culs où non. Quelle fin de nuit mémorable...

Le lendemain au petit déjeuner les filles n'étaient pas là. Tant mieux car j'avais une affaire sur le feu à La Voile Rouge où il fallait retourner pour faire quelques raccords. J'y ai retrouvé ma petite mannekine de bikini mignonne comme un coeur. Je l'ai invité à se joindre à nous pour tourner des séquences dans l'après midi avec l'Excalibur et une vieille Harley Davidson amené par un collectionneur. Finalement, elle est devenu le fil rouge de tout le clip. Le soir, une BBQ party était organisé dans le jardin de la propriété avec un peu d'invités triés sur le volet. J'en ai profité pour faire quelques images du clip et surtout pour finaliser avec la petite aux bikinis. Les américaines était là aussi et ne me faisaient même pas la gueule. Elles louchaient plutôt sur elle, un petit désert pour ces deux voraces, mais rien à faire, elle était pour moi et a passé la nuit dans ma chambre. Cette nuit là, Yoyo n'a pas beaucoup dormi non plus...

Nous sommes resté encore deux jours à tourner, puis une fois le tout dans la boite, la Volvo a pris le chemin de retour trainant le cul parterre. Et pour cause, nous étions trois désormais...

Une autre histoire de piscine m'est arrivé quelques années plus tard aussi sur la côte. Cette fois-ci, je me trouvais à Cannes pour le festival du film. Je travaillais pour Canal+ et en même temps pour la chaine de Ciné Cinémas sur la remise des Hot d'Or. Le monde du porno français c'est donné exprès le rendez-vous pendant le festival du film en organisant une grosse provocation. Ca faisait la troisième année consécutive, mais celle-ci était la dernière, car le festival a décidé d'en finir avec eux. Ce qui était les plus drôle dans l'histoire, c'est que les organisateurs avaient la honte, mais dès qu'une soirée privé se déroulait dans un hôtel ou sur un bateau, tout le monde des ''officiels'' courait après les invitations. Comme ils savaient pour mon cas, j'étais très sollicité, même par des personnalités très connus du monde du film et de la télévision. Je faisais le reporter fou. Dickhead...J'étais habillé en costard noir avec un casque de chantier sur la tête et des lunettes de soleil. Sur le casque on m'avais fixé une petite caméra, j'avais un micro à la main et un mini-enregistreur planqué sous la veste. Je provoquais et faisais des interventions idiotes avec les interviews décalés idiots. Aussi les plateaux avec des stars du porno. Le tout filmé par la petite caméra à laquelle personne ne faisait attention. Le gens ne se savaient pas filmés ce qui donnait quelques situations cocasses. La première année ou j'ai fait ça, j'étais accompagné d'une fille qui se donnait le nom de Béatrice Valle et la deuxième année avec Clara Morganne. Nous avons fait des plateaux à poil enfermés dans une salle de bain. La journée je faisais les itw's des stars du cinéma mondial habillé en smoking et le soir, le reporter fou du pornoworld. C'était assez fun. J'étais très ami avec une pornostar américaine, Terra Patrick, une fille superbe et super sympa qui aimait les Harleys Davidsons. J'avais fait venir quelques amis d'un motoclub de la côte et voilà la Terra, dans un cortège débout sur les cales pieds à l'arrière d'une Harley Davidson à défiler sur La Croisette en plein après midi en montrant fièrement ses gros nichons. J'ai pu tout filmer avant que les flics arrivent et que l'on soit obligé de prendre la fuite. Bonjour la rigolade.

Pendant la cérémonie des remises des prix, je me baladais entre les tables et je posais des questions aux actrices, genre : '' As-tu mis une culotte sous ta belle robe de soirée ?''

Si elle me disait non, je passais sous la table, je lui faisait écarter les jambes pour vérifier, le tout filmé par ma petite caméra. Je leur demandais de se masturber devant la caméra, d'ouvrir leur sexe. Je leur mettais des langoustes entre les nichons, je leur fourrais des chupa chups dans la bouche pour mimer une pipe, bref, je faisais le con. Le réalisateur et le producteur de l'émission adoraient ça. Le plus drôle étaient les fins de soirée ou tout le monde était bien bourré et faisait n'importe quoi. Je vous dis pas les pornostars lâchés dans leur pulsions primaires. Les hostilités se déroulaient sur deux jours. La première journée on répétait et tournait les plateaux, la deuxième, était réservé au direct de la remises des Hot d'Or. Il faut avouer que passer deux jours dans un délire pareil, entouré des sexbombes, ma libido était dans le rouge. J'étais dans un état d'excitation permanente. La première année après la soirée des répétitions j'avais rendez-vous avec un copain assistant de Canal pour aller manger un morceau. Une fois le repas terminé, nous décidâmes aller faire un tour au Casino pour jouer aux manchots. Personnellement je n'aime pas ça, mais j'ai suivi le mouvement. Nous étions trois. Mes collègues tripotaient les manchots et moi, je regardais. J'avais remarqué trois nanas dans le bel âge qui nous mataient du bar et j'en fit part à mon pote assistant. Il y va, discute un moment, puis revient. '' Hé le gars, elles nous invitent à boire un coup, moi, ça me branche bien, on y va ?''

Nous voilà au bar avec les trois femmes d'un cinquantaine bien sonné. Elles payent un coup, on paye un coup, on rigole, elles étaient très sympa et bourré de fric. Une d'elles possédait un yacht amarré dans le port et venait chaque année avec ses deux copines, en célibataire, se payer le festival. Elle nous invita à venir faire un tour sur son bateau. Un putain de gros bateau de luxe, un vrai appart flottant. Elle a sorti le champagne frais. Tout d'un coup, j'ai choppé les boules. Toute la journée j'ai bossé avec des bombes plus ou moins à poil pour finir dans une soirée lamentable avec trois cougars, fut-il sur un yacht de milliardaire ?

J'ai décidé de me tirer en inventant une excuse bidon et en me faisant traiter de lâcheur. J'ai récupéré ma voiture de location et pris le bord de mer pour rentrer à l'hôtel Royal Casino de Mandelieu. Il était trois heures du matin. J'ai fait à peu près la moitié du chemin quand j'ai remarqué trois actrices porno Tchèques avec lesquelles j'ai discuté dans l'après midi sur la plage rentrant à pieds. Je me suis arrêté et proposé de les ramener. Elles logeaient dans le même hôtel et ravies, ont accepté ma proposition. Elles ont picolé et n'en pouvaient plus de marcher. Pas de taxi...

Arrivés à l'hôtel, le bar donnant sur la piscine était encore ouvert, et il restait pas mal de monde à y trainer. La piscine était fermé. Nous avons pris quelques boissons et nous nous faufilâmes dehors. Il faisait encore très chaud et les filles voulaient se rafraichir. On s'est glissé à poil un à un dans l'eau sans faire du bruit pour ne pas attirer l'attention des vigiles. Après quelques brasses et quelques verres, la situation dégénéra en une petite partouze. Et le film de Sait Tropez et reparti depuis le début, sauf que les actrices étaient trois ce coup-ci. Et professionnelles. Elles ont fini par m'attraper pareil. Soudainement la lumière s'alluma et deux vigiles nous ont surpris en plein délire collectif. Obligé de déguerpir, la nuit s'est fini dans la chambre d'une des filles et moi, j'étais toujours là. Un vrai tournage de film porno, mais le caméraman, occupé ailleurs, n'a pas déclenchait l'appareil, mais ses jouissances en rafale. J'avais la santé même si j'étais bien aidé sur ce coup. Certainement plus que si j'étais resté avec mes potes sur le bateau des cougars.

Tout au long de ma vie j'ai rencontré beaucoup de femmes qui m'ont accompagné pendant un court ou long trajet, en tous cas au dessus d'une moyenne habituelle et évoquer mes aventures plus ou moins importantes demanderait un autre livre. J'ai du mal a vivre seul et sans être amoureux. Je suis un ''love addict''. D'ailleurs, l'addiction a toujours fait partie de mon personnage et de ma vie. Y compris la drogue. L'amour aussi est une drogue. Ma vie passé auprès de femmes ne se résume pas qu'à des tristes histoires de cul, heureusement, même si le sexe a toujours été très important dans mes relations. Elles m'ont procuré énormément de bonheur et aussi beaucoup de souffrances et déceptions. J'avoue, que le mécanisme de précision d'une montre suisse à moins de secrets pour moi que celles qui la portent. Aujourd'hui, homme mur et d'expérience, je n'y comprends pas plus qu'avant. Elles sont imprévisibles. Un jour elles vous aiment et vous adulent et le lendemain elles vous jettent comme le dernier des connards tout en ayant oublié sur le champ tout le merveilleux vécu quelques heures auparavant. Elles peuvent être très cruelles. Il faut être sans cesse sur le coup, ne jamais relâcher son attention, sinon c'est la punition immédiate dont un autre profite. Parfois elles reviennent, mais c'est rare et cela ne dure jamais très longtemps car nous, les hommes sommes rancuniers et n'arrivons pas à effacer complètement les vieilles blessures. Nous trompons mais n'aimons point être trompés. Même mentalement. Pourtant, le pardon ne fait-il pas partie du registre des plus grandes preuves d'amour? Je pense que les femmes arrivent au pardon plus facilement quand elles le veulent, sinon, c'est se heurter à un mur de granit. Dans l'ensemble, je me suis fait plus souvent larguer que j'ai largué. Et, ce qui est merveilleux avec l'amour, c'est qu'il est la seule déception programmée, le seul malheur prévisible dont on redemande. Je ne sais plus qui à dit ça, mais c'est tellement vrai. Comme il est bon d'être dans cet état de grâce. En on en redemande sans cesse jusqu'au jour ou nôtre vie nous oblige à nous préoccuper plus par les défis spirituels. Malheureux en amour et encore plus malheureux sans. A l'époque du jetable et du consommable,à l'époque ou des objets sont programmés pour une durée de vie limité dans le temps, l'amour l'est tout autant. Nous ne savons plus de le faire durer. Moindre conflit ne se résout plus que par une rupture immédiate. A l'ère de la communication nous refusons de parler avec l'autre et notre fierté et mutisme nous précipitent souvent dans le vide. J'ai récemment vécu une histoire tellement forte et intense, la plus forte de toutes, dont sa triste fin me laissa sur le carreau pour longtemps. Pour toujours ! Violante et inattendue. Comme j'y avais cru au départ. Le coup de foudre parfait, aussi soudain que meurtrier. Pour la dernière fois et pour toujours !

Aujourd'hui je me rends compte que j'étais plus toléré que aimé, que les mots d'amours étaient surtout les mots et que dans l'orgasme on susurrait le nom de quelqu'un d'autre alors que je croyais entendre le mien. Un immense sentiment de trahison et une énorme déception. Je ne comprends toujours pas et j'ai toujours du mal à l'accepter, même si je ne ressens plus le besoin d'en redemander. Quelle libération...

J'étais ainsi en train de me remémorer quelques de ces histoires d'amour ou de cul croustillantes et quelques unes de ses belles filles et femmes rencontrés au hasard de ma vie ou de mes voyages, et, si j'avais une forme matérielle, ma forme originelle en serait transformé, tellement elles avaient de pouvoir sur moi. Mais rien de tel ne risquait plus de se produire. Je n'étais désormais qu'un esprit virevoltant dans l'atmosphère muni d'une mémoire forte et précise qui était tout ce qui me restait à présent. D'ailleurs, si tous ces souvenirs et toutes ces images m'apparaissaient aussi clairement, c'est que juste avant mon accident, je me suis mis à les coucher sur le papier en relisant les vieux textos conservés dans mon portable, en ressortant les lettres d'amour et les photos de leurs boites en carton qui jonchaient encore le sol, éparpillés dans ce que fut mon bureau. Je préférais écrire à la main et noircir une page blanche vierge avant de tout mettre en forme sur mon ordinateur. Hank, lui, aimait taper sur sa vielle Underwood. Chacun son truc, mais dans l'ensemble, c'est une histoire de respect.


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