Sonnet
jokoster
Quand l'aube se lève sur les claires verdures,
Et que l'air bien trop frais, emplit nos douces narines,
Que le vent bien trop vrai colore les collines,
Qu'éclairées, les montagnes dévoilent leurs parures,
D'un regard passif, l'être oublit tous ces murs.
Des arbres grandioses il admire les échines,
Il n'en voit ni les sommets, ni même les racines.
Alors il entre dans l'éternité du pur.
Virevolte joyeux, jouant avec le sable
Du sablier tentant d'exécuter l'érable
Et le temps n'est qu'un jeu entre sable et verdure,
Et le vent, aux mieux, ignore que l'on devine
Ce pourquoi il défie montagnes et verdures,
Et le sable, et la mer, et l'arbre et la colline.
Merci mais j'ai senti qu'il fallait que je m'arrête là ! :)
· Il y a plus de 13 ans ·jokoster
J'aurais aimé que votre poème soit plus long afin d'encore plus en apprécier la beauté ...
· Il y a plus de 13 ans ·calypso---telemaque