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eukaryot

Noir. Battements de coeurs distants sourds, sous-marins. Le frisson débute sans prévenir, pas d’alarme. Rien d’autre que ce battement, qui deviens tiens regarde sens la musique qui coule et frissonne, accueille la dans ta peau vermeille, merveille sous tes yeux qui palpitent maintenant. Chant de vie au milieu de l’arène des morts, réveille doucement ces pellicules qui t’ensevelissent, t’encombrent. Echos de pâles librairies. Cristaux qui résonnent, couloirs de glace. Images, boucles de temps superposées, huit renversés dans tes grandes artères qui résonnent, détonations sur les lèvres, chant de vie au milieu des reines mortes. Plateau, voyage. Rêve que le temps n’a plus d’importance parmis ces messages cachés qui se révèlent par delà toi, au dedans de tes frissons morts. Règne de vie au milieu des chants des morts. Echos à nouveau, lisses véhicules qui parcourent tes songes maintenant, peine des morts rances sur mots de vie. Rien n’est possible, tout est permis, et c’est ta peau le message de vie sur les grands riens de tes morts.

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