Stella acte I (la rencontre)
agi0
Stella Acte I (la rencontre)
Au fin fond de l'univers
ou il n'y plus de lumière
flottant dans ce grand vide
ma planète devient arride
parfois oui je l'avoue bien
j'ai voulus suivre au loins
des comètes qui s'en allais
éclairant ma peau usée
laissant des millers de traces
mais jamais non ne m'enlace
Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.
Au fin fond de l'univers
je vois aux loins des lumières
encore un de ces leurres
qui brille et juste m'effleure
ces étoiles qui s'affolent
brille comme des lucioles
je veux de nouveau trembler
mais ne pas imploser
et finir en supernova
et encore tomber si bas
Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.
Au fin fond de l'univers
L'attraction commence a se faire
je ne sais pas trop pourquoi
ces astres provoque en moi
un boulversement si grand
une attraction me prend
tout en moi s'éveille alors
comme si je n'était plus mort
je sens la fusion reprendre
la lave qui jaillis des cendres
Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'avance dans le noir, les sens en eveille, vers ces lucioles, qui illumine l'interstellaire.
au mileu detout ces éclats
une lueur m'éclaire la bas
si j'étais son sattélite ?
me placerais alors en orbite
veillant a ne pas m'écraser
pour ne pas l'abîmer
juste pour partager
juste pour l'aimer
si elle avais la place
une place dans son espace
Une place dans son espace, si je pouvais être son satélite, sans jamais ne m'écraser, Un place dans son espace, sans poluer son athmosphère, si je pouvais être son soleil, pour la réchauffer, sa lune pour accompagner ses nuits, ses étoiles pour voir ses yeux briller, si j'avais une place dans son espace, sans j'amais l'abîmer, je l'aimerais je l'aimerais je l'aimerais
Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.
Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude, et un espoir enfin, un espoir peut être, un espoir de remplir ce vide interstellaire
Stella Acte I (la rencontre)Au fin fond de l'universou il n'y plus de lumièreflottant dans ce grand videma planète devient arrideparfois oui je l'avoue bienj'ai voulus suivre au loinsdes comètes qui s'en allaiséclairant ma peau uséelaissant des millers de tracesmais jamais non ne m'enlacePerdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.Au fin fond de l'universje vois aux loins des lumièresencore un de ces leurresqui brille et juste m'effleureces étoiles qui s'affolentbrille comme des luciolesje veux de nouveau tremblermais ne pas imploseret finir en supernovaet encore tomber si bas Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.Au fin fond de l'universL'attraction commence a se faireje ne sais pas trop pourquoices astres provoque en moiun boulversement si grandune attraction me prendtout en moi s'éveille alorscomme si je n'était plus mortje sens la fusion reprendrela lave qui jaillis des cendresPerdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'avance dans le noir, les sens en eveille, vers ces lucioles, qui illumine l'interstellaire.au mileu detout ces éclatsune lueur m'éclaire la bassi j'étais son sattélite ?me placerais alors en orbiteveillant a ne pas m'écraserpour ne pas l'abîmerjuste pour partagerjuste pour l'aimersi elle avais la placeune place dans son espaceUne place dans son espace, si je pouvais être son satélite, sans jamais ne m'écraser, Un place dans son espace, sans poluer son athmosphère, si je pouvais être son soleil, pour la réchauffer, sa lune pour accompagner ses nuits, ses étoiles pour voir ses yeux briller, si j'avais une place dans son espace, sans j'amais l'abîmer, je l'aimerais je l'aimerais je l'aimeraisPerdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude, et un espoir enfin, un espoir peut être, un espoir de remplir ce vide interstellaireStella Acte I (la rencontre)Au fin fond de l'universou il n'y plus de lumièreflottant dans ce grand videma planète devient arrideparfois oui je l'avoue bienj'ai voulus suivre au loinsdes comètes qui s'en allaiséclairant ma peau uséelaissant des millers de tracesmais jamais non ne m'enlacePerdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.Au fin fond de l'universje vois aux loins des lumièresencore un de ces leurresqui brille et juste m'effleureces étoiles qui s'affolentbrille comme des luciolesje veux de nouveau tremblermais ne pas imploseret finir en supernovaet encore tomber si bas Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.Au fin fond de l'universL'attraction commence a se faireje ne sais pas trop pourquoices astres provoque en moiun boulversement si grandune attraction me prendtout en moi s'éveille alorscomme si je n'était plus mortje sens la fusion reprendrela lave qui jaillis des cendresPerdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'avance dans le noir, les sens en eveille, vers ces lucioles, qui illumine l'interstellaire.au mileu detout ces éclatsune lueur m'éclaire la bassi j'étais son sattélite ?me placerais alors en orbiteveillant a ne pas m'écraserpour ne pas l'abîmerjuste pour partagerjuste pour l'aimersi elle avais la placeune place dans son espaceUne place dans son espace, si je pouvais être son satélite, sans jamais ne m'écraser, Un place dans son espace, sans poluer son athmosphère, si je pouvais être son soleil, pour la réchauffer, sa lune pour accompagner ses nuits, ses étoiles pour voir ses yeux briller, si j'avais une place dans son espace, sans j'amais l'abîmer, je l'aimerais je l'aimerais je l'aimeraisPerdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude.Perdu dans l'immensité de la soltitude, inutile et si futile, j'ere dans le noir, sans âme sans larme, sans but, juste avec, ma solitude, et un espoir enfin, un espoir peut être, un espoir de remplir ce vide interstellaire