Te fumer
Line Queen
Je m’tire les cheveux,Et me ronge les sangs,Tout me semble ennuyeux,Rien de franchement bandant,Privé de toi, morose,Je n’pense qu’à notre prochaine pause.
Avachis dans ce bureau,Et faussement décontracté,Mais qu’il y a-t-il de beau?Lorsque nous sommes séparés,Je n’ai plus aucun contrôle,Tel un dictateur privé de pétrole.
Apparemment, je te suis accros,Toi la maîtresse aux cents victimes,De mes lèvres, j’embrasse ta peau,Jolie nympho au corps nicotine,Unis pour un pire sans concession,Embrassons nous place à l’émotion.
Oh mon amour,Je veux te fumer,Mon sang ne fait qu’un tour,Lorsque je ne peux t’emporter.Oh mon amour,Laisse moi m’enivrer,Et fais moi l’amour,De paquets en paquets.
Quand des mains je te déshabille,Je m’attaque à ton corps de carton,Mes pulsions dominent et vacillent,Au diable les quand dira ton,Une jouissance des plus extrême,Faire partis de ton grand harem.
Et s’il faut crever d’une maladie,Pour avoir passé trop de temps ensemble,Sache que je te dédie ma chienne de vie,Mes doigts jaunis et mes mains qui tremblent,Et nous irons tout deux au concert,Je serai dans l’ombre, et toi dans la lumière.
Apparemment, j’en fais un peu trop,Toi le nectar au formes longilignes,Inconscients, poumons à nouveau,Crient à ta gloire, séduisant génocide,Passent les années de cette passion,Aveuglé par la régularité de notre liaison.
Oh mon amour,Je veux te fumer,Mon sang ne fait qu’un tour,Lorsque je ne peux t’emporter.Oh mon amour,Laisse moi m’enivrer,Et fais moi l’amour,De paquets en paquets.
Oh mon amour,Je veux t’aspirer,Palper tes contours,Dingue de nos virées,Oh mon amour,Je ne peux t’abandonner,Et fais moi l’amour,Je veux te fumer.