L'horloge sonne, les secondes du métronome défilent. Ça gronde, je ne reconnais aucun instrument. Ça tape, c'est profond. Ma poitrine chavire, résonne en moi cette pulsion. Attrapez-moi, vivante ou morte, ramenez-moi à lui, c'est le destin que je mérite. Vous observez les affiches de mon visage placardées dans la ville, car ma tête a un prix.
Je vis à l'intérieur d'un morceau électrique mais je fuis pour ne pas me faire attraper. Car si tu me choppes mon amour, je tomberais pour ton admiration, dans la prison de ta chair contre mes cries créés pour toi. Je rentre à la maison.